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SOUMIS (1)
Datte: 26/12/2017, Catégories: Trash,
... les tétons. Elles entrent dans ma bouche avide ou dans mon cul dilaté. Je suis en permanence excité et cela se voit. Je sers également de bedeau et le lubrique curé en profite pour envahir mes trous, sans ménagement, prosterné devant le crucifix de la sacristie. Il aime aussi me flageller le cul, agenouillé devant l’autel et penché en avant. A la mauvaise saison, ma maîtresse me laisse parfois à la garde de ses enfants qui font de moi l’attraction de leurs réceptions. J’avoue que j’ai grand plaisir de voir mon cul et ma bouche pénétrés par ces jeunes organes. Les filles sont plus dures avec moi et m’humilient souvent. Puis elles culpabilisent et m’offrent leurs orifices pour me récompenser. Au milieu de l’hiver, ma maîtresse m’emmène à la neige. Je deviens la coqueluche des salles hors sac ou je suis vu dans le plus simple appareil et souvent besogné par des inconnus. Il n’est pas rare de voir les touristes présents consommer leur frugal repas en cercle autour de mon corps découvert et impudique qu’ils ne cessent de lorgner et de palper. Au village, ma maîtresse m’envoie souvent faire quelques courses à l’épicerie, à la boulangerie et dans d’autres commerces... A chaque fois le scénario est le même : je dois me prêter au jeu pervers de mes interlocuteurs. Le boulanger adore me sodomiser avec le manche de sa pelle à four. L’épicier a conçu pour moi un ingénieux engin de torture qui dispense 24 volts dans mes bourses ou mes fesses. Chaque décharge me met en transes et ...
... m’écartèle en des positions lubriques. Le garagiste a équipé la selle d’un vélo d’un sex-toy sur lequel je dois empaler mon cul pour me promener avec lui. J’avoue qu’au moindre faux plat, l’impression est assez géniale. Quant au plombier, il m’a confectionné un jet de massage dont l’effet lavement est intéressant. J’en ai les boyaux en folie sans que cela soit douloureux. Le pharmacien m’alimente en toniques de tous genres pour que je sois endurant à la tâche. Il faut dire qu’il a des besoins sexuels hors norme et que mon anatomie est mise à rude épreuve. L’artiste peintre compose des tableaux éphémères sur mon corps. Il plante dans tous mes trous des objets décoratifs qui me font ressembler à une sculpture d’avant garde. Celles-ci m’échauffent et renforcent la sensualité de mes postures. Il les montre à tout le village puis les photographie avant destruction. Une seule consigne, ne jamais dire « non » à mes interlocuteurs même si je suis effrayé ou fatigué. Seule ma maîtresse a ce droit. En un mot, comme en cent, mon corps ne m’appartient plus et s’est habitué à être en permanence excité et prêt à l’ouvrage. J’y ai découvert que chaque cm² de peau peut être une zone érogène. Il m’arrive de ressentir un spasme génital violent alors qu’on ne me touche que la main, la tête ou le pied. Parfois j’ai l’impression que tout mon être est un sexe. Je n’arrive que difficilement à penser par moi même et m’en remets toujours à ma maîtresse que je ne cesse de contempler avec l’admiration et la ...