1. Intermède familial


    Datte: 26/12/2017, Catégories: fh, oncletante, Inceste / Tabou grosseins, fépilée, noculotte, chaussures, rasage, Oral fdanus, fsodo, hdanus, totalsexe, tante,

    ... chez Laurent. Ils viennent de dire à la radio que la circulation est toujours bloquée.— …— Comment ça, c’est réouvert ? Bon, écoute. De toute façon, on a abusé du vin. Je suis un peu saoule. Il vaut quand même mieux que je reste ici ce soir.— …— M’man !!!— …— Oui.— …— Oui, moi aussi. Bonne nuit, maman. Elle appuie sur une touche et repose l’appareil. Elle fait une drôle de tête. — Est-ce que je suis si transparente que ça ?— Pourquoi, qu’est-ce qu’elle a dit ?— Mais oui, ma chérie. Pas de problème. Tu as bien pris ta pilule au moins ? J’éclate de rire. — Ça te fait rire ? Tu t’imagines ? Ma mère sait que je vais coucher avec mon cousin et elle s’en fout ?— Ta maman a les idées plus larges que tu ne crois. C’est l’esprit soixante-huitard.— Elle n’a certainement pas brûlé de soutien-gorge en 68. Elle était un peu jeune pour en porter.— À vrai dire, j’ai du mal à imaginer que ta mère puisse avoir jamais été en âge de ne pas porter de soutien-gorge.— Comment ça ?— Tu rigoles ? Ses nichons sont énormes ! Tu lui détaches deux boutons au décolleté, tu l’enfermes une demi-heure avec une douzaine de gars, et à la sortie, il n’y en a pas un seul qui sera capable de dire la couleur des chaussures qu’elle portait. Je me souviens avec émotion de la semaine passée dans la résidence secondaire de tante Claire pendant que mes parents étaient partis fêter leurs vingt ans de mariage à Venise. Tantine, qui venait de divorcer, prenait des bains de soleil topless dans sa pelouse. Il n’y avait ...
    ... pas de voisins directs à cette maison à la campagne. J’avais quinze ans. Ça a été la semaine de plus intense branlette de toute ma vie. Quels tétons ! J’en rêvais toutes les nuits. — Hé ! Tu rêves ?— Hein ? Oh pardon. On le finit ce vin ?— Yes ! Après le vin, on s’est dit qu’on ferait mieux d’aller faire l’amour au lit, mais on a démarré sur le sofa, on ne s’est pas arrêtés en basculant sur la moquette, et on était presque épuisés en arrivant finalement dans la chambre, toujours liés l’un à l’autre. Alors, je l’ai enfin débarrassée des escarpins, et on s’est mis au lit. Après un long et tendre baiser, elle s’est blottie dans mes bras et nous avons fini par nous endormir. Une drôle de sensation m’éveille. Le jour s’est levé, et je me rends compte que ce qui me réveille est une bouche chaude et humide faisant des allers-et-retours très lentement sur ma verge tendue. — Dis donc, tu as une drôle de façon de réveiller les gens. Elle ne dit rien, mais ayant confirmation que je suis réveillé, elle passe à la vitesse supérieure. Comme la veille, elle va jusqu’au bout sans rechigner. — Et tu prends un drôle de petit-déjeuner, aussi, dis-je quand elle a terminé.— C’est juste pour l’apéro, me dit-elle en souriant. On déjeune vraiment. Puis on refait l’amour. — Bon, il faut quand même bien que je rentre chez moi.— Pas de chance.— Où as-tu fourré mes affaires ?— Pas question que tu remettes tes horribles bottes. D’ailleurs je te défends de remettre toutes ces pièces inutiles. Tu n’as qu’à ...
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