1. Intermède familial


    Datte: 26/12/2017, Catégories: fh, oncletante, Inceste / Tabou grosseins, fépilée, noculotte, chaussures, rasage, Oral fdanus, fsodo, hdanus, totalsexe, tante,

    ... rentrer comme tu étais hier.— Dis, il fait froid ! Et puis avec cette jupe, sans culotte. Et si je me fais violer ?— Ne dis pas de bêtises. Tu as dix mètres à faire dehors chez toi. Et ici, je vais t’accompagner. Tu es garée loin ?— Juste devant la porte.— Alors, tu n’as vraiment aucune excuse.— La voiture doit être glacée.— Passe-moi tes clés, je vais aller la chauffer pour toi.— Et tes chaussures ?— Tu me les ramènes quand tu veux. Je lui fais un clin d’œil. Elle sourit. Je file faire tourner le moteur cinq minutes. Quand l’habitacle est bien chaud, je remonte. — J’espère que tu ne m’en voudras pas, je me suis permis de regarder dans ton placard à chaussures. Cette fois, c’est moi qui rougis un peu. — Tu en as beaucoup. Et toutes très sexy. On voit que ça te branche les talons.— Marylin Monroe a dit…— Oui, je sais. Maman me le dit souvent. Mais tu en as de toutes les pointures. C’est pour toutes les nanas que tu reçois ici ?— À part mes cousines en détresse, il ne vient pas beaucoup de nanas ici.— La prochaine fois que je passe, il faudra m’en faire essayer d’autres.— Reviens vite. Elle me fait un petit bisou rapide, je la raccompagne à sa voiture, et elle s’en va. Je me dis que si elle doit s’arrêter aux feux de signalisation, vu la longueur de sa jupe, il devrait y avoir un veinard ou l’autre pour entrevoir ce qui reste de sa petite touffe. En milieu d’après-midi, on sonne. Je vais ouvrir. C’est tante Claire, en robe beige avec une ceinture blanche, escarpins blancs et ...
    ... bijoux en plastique blancs. Elle a changé de coiffure. Toujours blonde, mais ses cheveux ne descendent plus qu’aux épaules. Je vois immédiatement qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. La poitrine d’une femme, passé un certain volume, est animée d’une vie propre lorsqu’elle est libre. Elle porte mes escarpins noirs à la main. Elle me fait la bise. — Bonjour, Laurent. Je peux entrer ?— Bonjour tantine. Bien sûr. Ça te va à ravir cette nouvelle coiffure.— Merci. Tiens, je pensais qu’il allait faire très chaud chez toi. Mais c’est tout à fait supportable.— Le thermostat fait des fantaisies. Un coup ça marche, un coup ça marche pas.— Tu ne travailles pas dans une entreprise de construction ? Il n’y a pas un de tes collègues qui peut venir arranger ça ?— Le chauffage et la clim, on ne fait pas nous-mêmes. C’est sous-traité. Mais on doit venir me dépanner.— Pas aujourd’hui, j’espère ?— Non, dans le courant de la semaine prochaine.— Ah, tant mieux. Je ne voudrais pas qu’on soit dérangés. Ça m’apprendra à raconter des bobards. Dès qu’on met le doigt dans un mensonge, on finit par devoir y mettre le bras. Enfin, pour la sous-traitance, au moins, c’est tout à fait exact. Elle s’installe sur le sofa, me montre les chaussures avant de les poser par terre. — Je suis passée te ramener ceci et te demander deux ou trois choses.— Dois-je en déduire que Béatrice ne reviendra pas ?— Oh, je pense que si. D’après ce que j’ai cru comprendre, elle a passé un très bon moment. Mais maintenant, elle ...
«12...678...13»