1. 720 nuits cévenoles


    Datte: 27/12/2017, Catégories: fh, gros(ses), vacances, forêt, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio,

    ... toujours entièrement absorbé par son activité et semble-t-il inconscient de l’arrivée sur scène de deux nouveaux personnages. — C’est… (Lilian chercha un qualificatif approprié) romantique. Il préféra ne pas être plus précis dans la peinture de ses émotions, n’ayant pas tout à fait renoncé à l’espoir que Sonia fasse allusion dans sa question aux reflets de la lune qui chatoyaient dans le courant de la rivière. Furtivement, elle se plaça entre lui et le couple allongé. Elle portait un long tee-shirt sans manches qui descendait jusque sur des cuisses pâles et recouvrait, tout au moins le supposait-il, une culotte. Lilian prit note, mentalement, que ses cuisses étaient plutôt charnues et qu’elle avait de fort jolis genoux. Ils se regardèrent. Plus précisément, Sonia dirigea sur Lilian un de ses regards perforants et celui-ci s’efforça de le soutenir cinq longues secondes, selon les règles implicites du petit jeu auquel elle l’avait initié tout à l’heure sous la tente. — Oui, c’est romantique, ils font l’amour. Ça te plait, de les regarder ?— Quoi ? Mais pas du tout, je… Comment j’aurais pu savoir qu’ils seraient là ?— Tu les surprends, ça ne te plait pas du tout et donc tu restes là à les regarder sans bouger, c’est normal, poursuivit-elle dans un murmure compréhensif, sourcils levés. Lilian commença à bredouiller quelques mots et deux événements étonnants se succédèrent alors très rapidement. Le premier fut l’apparition, sur le visage de Sonia, de la première esquisse de ...
    ... sourire dont il ait été donné à Lilian d’être le témoin jusqu’ici. Le second fut son pied nu à elle qui se posa doucement sur son pied nu à lui. Est-ce qu’elle voulait l’intimider ? Le faire reculer ? Sans rien dire et sans bouger, il observa quelques instants ce pied - étroit et plutôt raffiné, avec sa cheville fine, ses petits orteils et leurs ongles soignés et vernis - comme s’il en attendait une explication. La première réflexion qui lui vint à l’esprit fut qu’il était dommage et risqué de marcher sans chaussures dans le maquis cévenol lorsqu’on avait d’aussi jolis pieds. Comme il avait aussi l’esprit pratique, la seconde fut qu’il était étrange de prendre le soin de se vernir les ongles des pieds lorsqu’on était en randonnée. Une main s’avança alors vers son visage, se posa sur son cou, juste au-dessous de sa joue et glissa sans un à-coup jusqu’au sternum, où elle stationna un moment, avec une légère vibration des doigts. Lilian eut un frisson, mais ne dit rien et resta encore immobile, dans l’attente de la suite, au cas où il y en aurait une. Sonia s’approcha davantage encore et sa poitrine était maintenant au contact de celle de Lilian. La respiration courte, il passa une main dans le dos de la jeune femme, d’abord parce qu’il ne voyait pas ce qu’il pouvait en faire d’autre, ensuite parce qu’il lui sembla que c’était le geste que les circonstances présentes exigeaient. Tandis qu’il se demandait quel pourrait bien être le suivant, et avant qu’il ait pu l’esquisser ne ...
«12...8910...18»