1. 720 nuits cévenoles


    Datte: 27/12/2017, Catégories: fh, gros(ses), vacances, forêt, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio,

    ... tableau qui le figea dans une attitude de stupeur, regard vitreux et bouche ouverte. Ce que ses yeux voyaient sous la pleine lune avait du mal à passer le cap de l’interprétation rationnelle. Face à lui, à moins d’une dizaine de mètres, Hervé était allongé sur le dos. On pouvait voir le sommet clairsemé de son crâne. Il était complètement nu - pour autant que Lilian pouvait en juger. Caroline était assise sur son bassin, les bras en appui près du visage du jeune homme, et il sembla à Lilian qu’ils étaient en train de pratiquer un exercice de respiration artificielle. Si c’était de cela qu’il s’agissait, Caroline s’y prenait cependant de façon bien imprudente et maladroite, car une paire de seins impressionnante s’échappait de sa tunique ouverte et Hervé, la tête maintenant légèrement redressée, avait le nez perdu quelque part au milieu. La poitrine de Caroline était rendue encore plus impressionnante par le ballottement auquel ses efforts rythmés en vue de réanimer son partenaire la soumettaient. Ce ne fut qu’au bout de plusieurs secondes, lorsqu’il aperçut, derrière le visage rougissant de la jeune femme, ses fesses aussi indubitablement nues qu’exceptionnellement généreuses, que Lilian comprit le sens de la scène qu’il était en train d’observer. Quelques mots d’excuse lui montèrent aux lèvres, mais il lui sembla finalement qu’en règle générale, lorsqu’une personne en surprenait deux autres en plein coït, les trois protagonistes s’en trouvaient mieux si les deux amants ...
    ... étaient laissés dans l’ignorance de la présence du troisième ; et il s’abstint, ne sachant plus trop s’il pouvait tourner les talons sans, justement, manifester cette présence. Il avait aussi un peu de mal à détourner le regard des fesses de Caroline, qui se soulevaient lentement et souplement, selon une cadence métronomique, dans un mouvement qui n’était pas sans rappeler à Lilian celui des vagues sur les récifs de la pointe du Raz, avec vent de force quatre. Il resta encore quelques minutes immobile. Le souffle de Caroline se faisait maintenant un peu plus rauque et, à distance, il sembla à Lilian que les jolis traits de son visage trahissaient les premières ondes du plaisir qui la gagnait petit à petit. Il n’était finalement pas du tout surpris qu’elle ait plu à Hervé. Et Lilian pouvait maintenant entendre qu’elle lui plaisait beaucoup. Au moment où il allait enfin parvenir à détacher son regard du spectacle, le bruit sec d’une branche qui se brisait dans son dos le fit sursauter avec d’autant plus de vivacité qu’il fut suivi aussitôt de quelques mots murmurés. — Qu’est-ce que tu penses de tout ça ? Il n’aurait pas été beaucoup plus surpris si une souche d’arbre lui avait soudain adressé la parole. Mais il n’ignorait pas que les souches d’arbre ne murmuraient pas. C’était Sonia. Cette jeune femme semblait avoir un effet démultiplicateur sur la sensibilité de ses nerfs. Toujours à voix basse, elle l’interrogea en penchant la tête vers le couple qui continuait ses exercices, ...
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