1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°936)


    Datte: 28/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ...qui ne vint pas ! ? ... Puis un claquement sec suivit... Mais toujours rien, pas de douleur .. J'ouvris les yeux. - il faut que je réveille ta libido, me dit le Marquis d'un air pervers, bon, si on te faisait payer le reste de ta dette, petite chienne ? Et sans prévenir, il leva le bras qui entraina le fouet et dans un mouvement ample l'abattit sur moi. J'entendis de nouveau le chant du serpent de cuir. Il vint, sauvage, s'enrouler autour de ma taille, comme un amant trop ardent, provoquant tout à la fois effroi, brulure, éclair de douleur. Quand la mèche me heurta, juste sous le sein, je hurlais, me cabrant sous la douleur infernale ! Le fouet se déroula, lentement, desserrant son étreinte de feu. J’entraperçus le mouvement du Marquis qui relevait son bras et d'un mouvement sec, de nouveau, lançait son fouet dans une ronde cruelle qui finissait sa course autour de moi, partenaire involontaire de cette danse infernale. Car, enlacée par ce fouet de cuir, prolongement impitoyable du bras du Marquis, il me faisait danser. Oui je dansais, me tordant dans mes liens, me cambrant, tournant sur moi-même, accrochée à la poulie qui me maintenait, offerte de toutes parts, au jeu du Marquis. Tendue comme la corde d'une guitare, je vibrais sous sa morsure. Je hurlais à chaque coup, demandant grâce. Ma peau se zébrait d'un étrange motif. Je pensais que je ne tiendrai pas longtemps à ce rythme-la. Qu'il finirait pas me déchirer, par me blesser, que j'allai finir en lambeaux lamentables. ...
    ... Il s'interrompit un instant, Walter vint regarder les marques écarlates sur ma peau blanche, que mon Maître trouve si douce ! Ah mon Maître si vous étiez là, vous pourriez arrêtez ce supplice, me prendre dans vos bras ... Il fit signe au Marquis qui s'approcha, frôla chaque marque, Walter s'accroupit devant moi et posa sa bouche contre mon sexe ruisselant : - elle est trempée Monsieur le Marquis, son sexe dégouline, elle aime ça, cette salope ! "NON je n'aime pas ça, c'est la douleur, c'est la peur qui provoque ça ! Ne le voyez vous donc pas ?" criai-je. Décharge électrique ! Je sursautais. Walter avait posé sa langue sur mon clitoris gonflé à en éclater. Je n'avais jamais senti une telle intensité dans cette caresse buccale. Je propulsais mon bassin contre sa bouche, instinctivement ! Pourvu qu'il continua encore, que cela ne s'arrête pas ! C'est à cet instant que je sentis l'orgasme monter, tel un animal étrange, se pelotonnant, tapis au creux de mon ventre, se roulant en boule, près à jaillir ! Mais qu'est-ce que c'était que ça ? J'étais enchaînée, fouettée, mais trempée et léchée merveilleusement bien par le majordome. Le Marquis pris alors mes seins à pleine main, je gémissais sous leurs caresses conjointes, j'ondulais, j’écartais les jambes au maximum des possibilités que me laissait la position. ''L'animal'' se préparait, je le sentais qui grossissait, lové au plus profond de mon corps. Je rejetai la tête en arrière et dans un spasme incroyable, l'orgasme bondit hors ...
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