1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°936)


    Datte: 28/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... faisait l'amour comme on ne me l'avait jamais fait, cherchant dans mes derniers retranchements la femelle que je ne connaissais pas. Il la fit surgir, en un éclatant soleil. ''L'animal'', une fois de plus, sortit de moi en un millier d'étoiles. Mon corps se tendit tel un un arc et mon cri jaillit, puissant, bestial. J'étais devenue vestale jouissant pour un Dieu ancien, dans un rite depuis longtemps oublié des hommes. Ma jouissance m'emporta loin et un voile noir se glissa entre le Marquis et moi. Je m’effondrais dans ses bras. Il me soutint le temps que Walter me détache. - j' ai rarement assisté à ça Monsieur le Marquis ! elle était magnifique ! - oui, en effet, magnifique ! Maintenant occupe toi de Mélanie, laisse la dans la cage, enlève lui le plug, donne lui une couverture et ferme la porte. Il se fait tard, restaure toi et prends du repos. Nous nous reverrons demain. Bonne nuit Walter ! - bonne nuit Monsieur le Marquis, à demain. Je revenais lentement à moi, Le Marquis porta ses lèvres sur mon front et me dit, tu as été superbe petite chienne. J'aime quand les femmes deviennent chiennes et ce soir tu m'as offert un magnifique spectacle, maintenant tu vas te reposer. En grand seigneur, Il me porta, de ses bras puissants, à travers plusieurs pièces jusqu'à une chambre. Je m'endormais, lentement bercée par sa démarche majestueuse, lente. Il me portait, sans peine. J'entendais son coeur contre mon oreille, mon corps ne réagissait plus. Il me déposa par terre, m'allongea ...
    ... et me liât les mains au pied du lit. Je ne compris pas ce qu'il faisait, mais vaincue par la fatigue je m'endormis à même l'épais tapis... Je sentis que l'on me passait la main sur le dos, les jambes ... Puis plus rien . Je dormis d'un sommeil lourd, entrecoupé de soubresauts . Au petit matin, je me réveillais là, encore attachée au pied du lit . J'avais du mal à me souvenir de ce qui c'était passé et comment j'étais arrivée là et pourquoi mon Maitre m'avait attachée au pied de son lit . Mais je me rendis vite compte que ce n'était pas son lit, d’ailleurs ce n'était pas sa chambre non plus. Mais où .... Puis, tout me revînt en mémoire d'un seul coup. Non ce n'était pas mon Maître qui m'avait attachée là ! Torrent de peur ! Torrent de douleur, insupportable .. le fouet me réveilla ! Non juste son souvenir ! Je hurlais, je secouais les liens qui me retenaient prisonnière à ce lit comme une esclave à un poteau. J'entendis, venant du lit, un grognement m’intimant l'ordre de me taire. Le Marquis ? Etais-je enchainée au pied du lit du Marquis ? Mais pourquoi, je ne saisissais pas la situation, je ne la comprenais pas. La réalité me fuyait. Le Marquis se redressa légèrement, tira sur un cordon à la tête de son lit. Aussitôt la porte s'ouvrit et apparu, Marie, la cuisinière. Etait-elle derrière la porte à attendre pour être arrivée tout de suite ? Elle entra dans la chambre, s'approcha du lit, entraînant avec elle une merveilleuse odeur de café et de croissants chauds. Odeur qui me ...
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