La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°936)
Datte: 28/12/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... de moi mélangé dans un flot d'urine et le tout s'écrasa au sol en un jet puissant et abondant, inondant le tapis et les mains de Walter. Mon corps oscillait sous les spasmes qui diminuaient doucement d'intensité, l'''animal'' reflua et disparût. J'étais tout aussi catastrophée que confuse de ce que je venais de faire, je jetais un regard angoissé à Walter qui se redressait, me regardait avec un sourire pervers. Je ne savais plus quoi penser. Après s'être regardés, ils partirent tout les deux dans un grand éclat de rire ! - Monsieur Le Marquis ! Quelle aubaine ! - Oui Walter, nous voila avec une "femme fontaine" ! et quelle fontaine ! je vais devoir faire changer le tapis ! s’esclaffa-t-il ! En voyant mon air effaré ils se remirent à rire de bon cœur. Une femme fontaine ? qu'est ce que c'est que ça ? Je venais de ruiner son tapis et Monsieur le Marquis semblait heureux ! - ne t'inquiète petite femelle soumise, peu de femmes ont cette possibilité-là, ce pouvoir-là, et que tu nous le dévoiles ce soir, me comble de plaisir ! Je voulais par amusement te mener à l'orgasme, je ne pensais pas que cela irai jusque la femme fontaine ! J'en suis enchanté, petite salope ! - ... je ne comprenais rien à tout cela . J'avais donc quelque chose que je ne savais pas avoir ? Le répit ne dura pas ! - Walter, je pense que cette petite chienne pourrait bien jouir encore une fois ou deux, mon ami le fouet a sût réveiller la femelle que je sentais en elle, profitons en ! Walter s'installa ...
... confortablement dans un fauteuil et attendit, impatient, la suite. Le Marquis reprit son fouet et se replaça derrière moi. Non, il n'allait pas recommencer ! avant même qu'il ne leva son fouet je lui fit "non" de la tête, implorant en silence sa compassion. - ne t’inquiètes pas, petite chienne, tout se passera bien, tu verras ! Et avant que j'ai pu dire quoi que ce soit, le fouet reprit sa folle danse, s'enroula, tourna, siffla, claqua, me zébra le corps d'éclairs de douleurs, m'embrassa de mille baisers de feu. Peu à peu je perdis pied. J'entrais dans un autre monde où j'étais seule avec le fouet. Il avait, manié avec la dextérité du Marquis, prit vie, et nous dansions dans un corps à corps voluptueux et sensuel, fait de douleurs fulgurantes, de cris montant haut et me libérant, faisant renaître peu à peu l'animal captif. Je le sentais qui, au fil des coups, grandissait, m'envahissait, reprenait possession de mon ventre, et attendait le moment . Je criais de moins en moins, ressentais de moins en moins la douleur, dopée que j'étais par les hormones que mon corps déversait dans mes veines. Je n'avais plus qu'une envie, que cela continue, que ça ne s'arrête jamais. Je perdis la notion du temps, j'entendis, comme dans un brouillard, quelqu'un me parler au loin, mais je ne compris pas ce que l'on disait. Je sentais que malgré la douleur, mon corps rompu, ne se révoltait plus, il s'offrait entièrement à la douleur en la faisant sienne. Je ne vivais que pour le fouet, ce serpent, qui me ...