1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°936)


    Datte: 28/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... rappela que je n'avais rien mangé depuis .... trop longtemps. Mon estomac cria famine avant moi. Le Marquis s'assit contre ses oreillers et me demanda : - alors femelle as tu bien dormi ? Je ne répondit pas. En effet , j'étais comme une esclave femelle, nue, attachée au pied de son lit, Marie me regardait ironique : - eh bien, elle a douillé la p'tite, Monsieur le Marquis y a été fort ! - que dis tu ! elle en redemandait, la petite putain ! - mais pas du tout ... osais-je dire d'une voix enrouée, je n'avais pas remarqué que j'avais mal à la gorge - pis c'est qu'elle cause sans qu'on l'autorise en plus, m'est avis qu'vous z'avez encore du travail avec elle, notr'bon Marquis ! - en effet Marie, en effet ! J'en ai pas fini avec elle, donnez-lui mes restes. Ensuite conduisez la dans la "salle d'eau", mais celle prévue pour les femelles de son genre, si vous voyez ce que je veux dire ... Il se leva, desserra mes liens, passa une main dans mes cheveux et se dirigea vers une porte dissimilée par un paravent. Je mangeais les restes du Marquis avec appétit. Le bol de café chaud, presque plein fut un nectar pour ma gorge irritée. Je repensais à ce qu'il avait dit. A la façon qu'il avait eu de dire cela , je présentais que quelque chose, de pas très agréable pour moi, était accolé à ces mots . Le rire de la cuisinière ne m'avait guère rassuré non plus. Restaurée, je me sentis toutefois un peu mieux. Marie était repartie avec le plateau en m'ayant demandé de l'attendre, comme ci j'avais ...
    ... pu aller loin attachée comme je l'étais. Pendant que le Marquis faisait ses ablutions matinales dans le cabinet de toilette adjacent, je pu prendre le temps de regarder où j'étais. Le tapis sur lequel je m'étais endormie avait des couleurs douces et chaudes. Le motif floral en était agréable. Il était épais et doux ce qui m'avait permis un sommeil réparateur, atténuant la dureté du sol. Le lit à baldaquin, était immense, d'énormes édredons étaient jetés dessus, et moi qui avais dormis par terre ! Je trouvais la pièce grande pour une chambre. Une armoire était appuyée contre l'un des murs, sur toute sa longueur. En face, un secrétaire faisait office de petit bureau, finement ouvragé, je le trouvais très élégant. Les deux seules fenêtres étaient sur des murs perpendiculaires. J'en supposais donc que la chambre occupait un angle du château. Des tableaux anciens ornaient quelques espaces vides, personnages des temps anciens, ancêtres du Marquis ? Je ne pus le deviner. L'un d'eux cependant me fit tiquer, n'était-ce pas le Marquis Donatien de Sade, là ? Le Marquis, sortait à l'instant même où mon regard se portait sur le tableau et voyant mon air étonné me dit : - et oui c'est bien lui ! Donatien de Sade, ou le Divin Marquis, c'est lui même qui en fit cadeau à l'un de mes ancêtres en remerciement pour l'avoir invité chez lui lorsqu'il fut libéré de prison en 1784. Marie arriva sur ces entre faits et s’exclama : - zêtes tout beau Monsieur le Marquis, Vous sortez ? Faut-y demander la ...
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