Une histoire d'adolescent
Datte: 28/12/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
voisins,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
Souvenir de jeunesse A l’époque, j’habitais encore avec mes parents dans une petite ville du sud-est de la France. Nous habitions un immeuble à double entrée. En façade, il donnait sur une petite place ombragée, c’était l’entrée principale ; à l’arrière, il donnait sur une cour où se trouvaient les garages. Une porte permettait d’accéder à la rue, et c’est par là que je sortais avec mon vélo. L’immeuble voisin n’avait pas de boxes, mais avait bien une cour arrière avec une porte qui ouvrait, aussi, sur la rue. L’occupante du rez-de-chaussée, lequel donnait donc sur cette cour, était une personne d’environ quarante ans plutôt pas mal conservée. Entre copains, on l’appelait «la blonde». C’était une femme qui ne passait pas inaperçue : toujours très maquillée, très bien coiffée, vêtue avec goût et élégance, du moins pour la petite ville où nous vivions. Ses chaussures attiraient tout particulièrement l’attention. Elle portait souvent des escarpins vernis, aux talons très hauts, qui donnaient à ses jambes un galbe remarquable et remarqué. Quand je sortais mon vélo, je l’appuyais contre la porte de la cour voisine, le temps de refermer celle de notre propre cour. Ce jour-là, je remarquai du mouvement de l’autre côté. Je m’approchai. La porte était vieille et il y avait une fente assez large, entre le battant et le mur, pour voir sans être vu. Quel ne fut pas mon étonnement de découvrir «la blonde» allongée sur un petit tapis, en train de se faire bronzer quasiment nue à l’entrée ...
... de sa porte-fenêtre. Elle s’était arrangée pour se placer en retrait, de façon à ce que les voisins du dessus ne puissent pas la voir. En face : personne ; j’étais donc seul à pouvoir l’observer. Mon premier réflexe fut de me baisser pour ne pas être vu. Mais je risquai bientôt à nouveau un œil : la belle n’avait pas bougé, elle profitait de la chaleur de ce soleil de fin de printemps. Je tournai la tête à droite et à gauche : personne dans cette petite rue très peu fréquentée. Je décidai donc de rester un peu pour voir… Au bout de quelques minutes, la blonde bougea un peu, elle se redressa et je pus admirer ses seins lourds, en forme de poire. Quand elle se tourna sur le ventre, je m’aperçus qu’elle portait une sorte de toute petite culotte, presque une ficelle : le fameux string qui, à l’époque, n’avait pas la notoriété qu’il connaît aujourd’hui. Je commençais à sentir des picotements dans le bas-ventre, mais la belle resta si longtemps allongée sur le ventre que je dus me résigner à partir. Inutile de vous dire que le soir, dans mon lit, je me branlais en pensant à elle. Le lendemain, à la même heure, je me postai à nouveau devant la porte : personne, la porte-fenêtre était fermée. J’attendis environ dix minutes et je me décidai à partir quand je vis les deux battants s’ouvrir et la blonde apparaître. Elle était cette fois vêtue d’un peignoir en satin rose. Elle portait aussi de délicieuses mules à talons très hauts assorties à son peignoir. Elle sortit dans la cour pour ...