Une histoire d'adolescent
Datte: 28/12/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
voisins,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
... étendre du linge sur un fil : des petites culottes, des soutiens-gorge et une combinaison noire. J’appréciais. Elle rentra et ressortit presque aussitôt pour étendre le fameux tapis de bronzage que je n’espérais plus. Une chaise était posée près de la porte-fenêtre et, sans plus de formalités, elle y posa son peignoir d’un geste ample. La lingerie noire qu’elle portait sous le peignoir me fit un effet certain : une toute petite culotte, un soutien-gorge pigeonnant et surtout un porte-jarretelles en dentelle qui tendait haut sur ses cuisses des bas noirs très fins. Elle passa les mains derrière le dos, dégrafa son soutien-gorge d’un geste habile et le posa sur la chaise. Puis, elle s’assit et commença à dégrafer ses jarretelles l’une après l’autre, se penchant un peu pour celles de derrière, mettant inconsciemment ses seins en valeur pour mon regard de plus en plus enfiévré. Elle fit ensuite glisser les bas le long de ses jambes, tirant lascivement dessus pour finir de les ôter. Elle les posa délicatement sur la chaise, non sans les avoir reniflés, me semble t-il, au passage. Elle était en petite culotte toute transparente et je m’imaginais voir des poils au travers. Je commençais à bander sérieusement, coincé dans la rue, contre le mur. La blonde se massait énergiquement les seins avec de la crème solaire, pressant le bout de ses tétons de façon indécente. Puis ce fut le tour de ses jambes et je restai pantois devant cet automassage d’un érotisme rare, du moins l’était-il ...
... encore pour moi à cette époque. Elle s’allongea ensuite sur le dos et le spectacle perdit beaucoup de son charme. Ce strip-tease me marqua à jamais et je me découvris ce jour-là une passion pour les bas noirs qui ne me quitta plus. Je me précipitai dans le garage et je me branlai énergiquement en fermant les yeux et en revoyant la scène. Les jours suivants, à la même heure, je me précipitai vers la fente au-dessus de la porte pour encore espionner ma voisine. Mais j’eus moins de chance et le plus souvent, soit la porte-fenêtre était fermée, soit la belle était déjà en position allongée. Quelque temps plus tard, un ami m’apprit que la blonde se faisait bronzer tous les après-midi, mais en maillot cette fois, à la piscine municipale. C’est alors qu’une idée germa dans mon esprit… Les jours suivants, j’observai attentivement les allées et venues de ma charmante voisine et je remarquai effectivement que tous les après-midi, elle était absente. Je pouvais passer à l’action… Le lendemain, à peine était elle partie que je me faufilai dans l’entrée de son immeuble. Je m’approchai de sa porte et je frappai timidement. Comme je m’y attendais, personne ne répondit. J’empruntai alors le couloir qui permettait d’accéder à la cour -par chance, la porte n’était pas verrouillée -. Je sortis prudemment et je regardai à gauche et à droite : personne. Toute la petite ville dormait, écrasée par la chaleur. L’appartement de la blonde donnait sur la cour par deux ouvertures : une porte-fenêtre, qui ...