1. Une histoire d'adolescent


    Datte: 28/12/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, voisins, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio,

    ... était fermée, volets ouverts, et une fenêtre dont les volets étaient presque fermés, ainsi qu’on le fait dans le midi pour se protéger de la chaleur. Je risquai un œil en dessous du volet de la fenêtre, c’était bien ce que je pensais : la belle avait tiré ses volets, mais laissé la fenêtre ouverte. Avec un petit bout de bois que j’avais apporté je n’eus aucun mal à faire sauter le crochet qui retenait les volets fermés. Le petit bruit métallique me fit sursauter. Et si quelqu’un me voyait ? Je serais bien sûr pris pour un cambrioleur. Je commençai à trembler, mais l’envie était trop forte : j’enjambai prestement la fenêtre et refermai bien vite le volet. Voilà, j’étais dans le lieu de tous mes désirs, je pénétrais dans l’intimité d’une femme qui me fascinait depuis plusieurs jours. J’étais entré par la cuisine, toute petite et bien rangée. Je passai dans la salle de séjour-salle à manger : c’était une pièce coquette et décorée avec goût. Je percevais déjà une odeur de parfum, une odeur de femme qui flottait dans l’air. Je traversai cette pièce et me trouvai face à une porte fermée. Bêtement, je frappais ; mon cœur battait la chamade. J’ouvris doucement la porte et je découvris enfin l’objet de mon désir : la chambre. On peut dire que c’était comme un bonbon : une moquette framboise, épaisse, un grand lit couvert de satin rose avec des petits nœuds partout, deux tables de nuit (l’une vide et l’autre chargée de livres et de revues féminines), une petite commode très étroite ...
    ... avec sept tiroirs et, enfin, une grande armoire à glace. Une porte donnait sur une minuscule salle de bains. Je tremblais en entrant dans ce sanctuaire. Sur l’envers de la porte étaient pendues des pièces de tissu froufroutantes en dentelle rose. Je décrochai une sorte de déshabillé tout en mousseline de dentelle et je plongeai mon visage dans ces plis capiteux. L’odeur était très parfumée : ça sentait le mystère féminin à plein nez. J’avisai aussi la toute petite nuisette assortie qui tenait à peine à la patère par une de ses fines bretelles. Je la reniflai aussi et sentis mon sexe qui commençait à grossir. J’étais dans une caverne merveilleuse. J’avais découvert un trésor. Je raccrochai le déshabillé et la nuisette et je retournai dans la chambre. L’armoire à glace comportait deux portes. J’ouvris celle de droite et je découvris une belle collection de robes toutes coupées dans des tissus plutôt fluides, très féminins. Je refermai la porte et ouvris celle de gauche. Je remarquai aussitôt, pendue sur l’intérieur de la porte, à un petit ruban rose, une collection de bas rangés là comme les hommes rangeaient autrefois leurs cravates. Je les effleurai de mes mains et je pris conscience de leur douceur et de leur fluidité. Sans aucun doute, c’étaient des bas très fins, de grande qualité. Le reste de l’armoire contenait des chemisiers, des serviettes de toilette et divers foulards. Je laissai la porte entrebâillée, comme pour garder un œil sur les bas pendus lascivement à la porte. ...
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