De Papillon De Nuit à soumise (6) - Histoires de Sexe

De Papillon De Nuit à soumise (6)

J’étais sur les avant-bras, et ma Maîtresse me prenait comme une folle tandis que ma bouche se plaquait contre la vulve trempée et ouverte de ma seconde Maîtresse. Ma langue tourna longuement autour de son clito en faisant des efforts pour ne pas le toucher, voulant la faire durer le plus longtemps possible, ce qui se révélait impossible. Le gode me remplissait complètement ; ses chocs à répétition contre mon utérus me procuraient un plaisir inoui qui m’amenèrent rapidement à un nouvel orgasme. Le bassin de ma seconde Maîtresse fut rapidement pris de soubressauts, et elle me jouit dans la bouche toute sa cyprine dont je me delectai. Ma Maîtresse se retira de moi et retira le gode ceinture ; nous étions toutes les trois haletantes. Je nettoyai le gode de ma Maîtresse avec ma langue. Après s’être relevées, elles se rhabillèrent et je repris ma pose initiale. — Bien qu’elle soit loin d’être au niveau de ma soumise, la tienne est vraiment douée pour bouffer des chattes, Chloé. Mes félicitations. — Merci ; mais le mérite, je dois le reconnaître, lui revient. — Et toi, qu’est-ce qu’on dit ? aboya-t-elle en s’adressant à moi. — Je ne sais pas, Maîtresse Louna, pardonnez-moi... bégayai-je. — Dis-moi merci de t’avoir permis de me sucer, et remercie-nous aussi, ma sœur et moi, de t’avoir fait jouir ! — Merci, Maîtresse Louna, de m’avoir autorisée à vous donner du plaisir ; et je vous remercie, Maîtresses de m’avoir fait jouir toutes les deux. — Voilà qui est mieux ! Elle rangea ses ...

... affaires dans son sac à main. Je remarquai alors que la fessée que j’avais reçue précédemment m’avait été donnée avec une brosse à cheveux. — Et je vous remercie également pour m’avoir donné la fessée avec, j’imagine, le côté plat de la brosse que vous rangez, Maîtresse Louna. — Wouah ! Eh ben, on peut dire que tu apprends vite. C’est bien ! Le reste de la journée se déroula normalement. La semaine qui suivit, mes problèmes mensuels se déclenchèrent, mais ils ne m’empêchaient nullement d’avoir des rapports – mais uniquement de type anal – lorsque ma Maîtresse avait des invités. Quelques jours plus tard, un soir, alors que je m’étais mise au lit, ma Maîtresse entra dans ma chambre. Je commençais à sortir du lit pour prendre ma pose. — Bonsoir ma chienne. Non, non, reste allongée, je n’en ai pas pour très longtemps. — Que se passe-t-il, Maîtresse ? Un problème ? Un sourire se dessina sur son visage et elle s’assit sur le lit à mes côtés. — Eh bien, voilà la raison de ma venue. Je sais que tu voulais dormir, mais j’ai appris qu’il y a peu de temps, il y a eu un jour particulièrement important pour toi, n’est ce pas ? Je baissai la tête en souriant, comprenant qu’elle parlait de mon 18ème anniversaire. — C’est exact, Maîtresse. C’était il y a un peu plus de trois semaines. Mais comment le savez-vous ? — J’ai beaucoup de sources, ma soumise ; et avoir 18 ans, ce n’est pas rien. Alors demain nous allons sortir parce que je voudrais t’acheter une tenue très très spéciale pour une ...