De Papillon De Nuit à soumise (6) - Histoires de Sexe

De Papillon De Nuit à soumise (6)

... soirée, disons... hmmm, en ton honneur qui aura lieu Samedi. — De quel genre de soirée s’agit-il, Maîtresse ? demandai-je, les yeux brillants, excitée comme une puce. — Tu verras. Mais je te garantis que non seulement ce sera toi la reine de la soirée, mais qu’aussi la fête sera du genre copieusement arrosée. — Oh, dites-m’en plus, Maîtresse, s’il vous plaît ! minaudai-je. — Non ; tu en sais déjà beaucoup, déclara-t-elle en riant. Bonne nuit, ma chienne, dit-elle en se levant et en m’embrassant sur le front. — Oh ! B...bonne nuit, Maîtresse, bégayai-je, étonnée par ce petit geste d’affection de sa part. Elle sortit, et je me sentis frustrée de ne pas en savoir davantage à propos de cette soirée. L’excitation me fit dormir que trop peu, imaginant toutes les fêtes possibles, sans compter les clubs spécialisés dans ce genre d’événement. Le lendemain, elle m’emmena à Paris, et plus spécialement dans un sexshop SM. Je trouvai l’ambiance assez détendue, malgré l’aspect donjon de la salle garnie de tous ces vêtements de cuir, d’autres de vinyle ; de fait, il n’y avait personne. Ma Maîtresse était habillée comme à son habitude, en tailleur chic, et moi j’étais vêtue d’un jean, débardeur et baskets. J’avais pour seule consigne de choisir une tenue pour ma soirée d’anniversaire. Après avoir longuement déambulé dans le magasin, mes yeux se posèrent sur un bustier sans bretelles en vinyle qui s’ouvrait par devant grâce à une fermeture à glissière, et la jupe assortie, de la même ...

... matière. Je la trouvais superbe ; je ne pouvais plus la quitter des yeux. La vendeuse, une femme mûre et un peu ronde, s’avança vers moi. — Bonjour, Mademoiselle. Je vois que cette tenue vous a tapé dans l’œil ; vous pouvez l’essayer, si vous le souhaitez. Les cabines sont ici. Quelle taille faites-vous ? — Je fais du "S", Madame. — Je dois avoir ça quelque part ! Elle fouilla dans le rayon et me sortit la tenue suceptible d’être à ma taille ; elle me la tendit. Je regardai ma Maîtresse pour voir un signe d’approbation ; son signe de tête accompagné d’un sourire m’invita à passer cette tenue. Une fois déshabillée et la tenue enfilée, j’eus un coup de cœur en me voyant dans le miroir : c’était cette tenue que je voulais, et pas une autre. Je trouvais le contact excitant. Je sortis la tête de la cabine pour m’assurer qu’il n’y avait encore que nous trois. — Elle me va super bien ! — Vous n’êtes pas trop serrée dedans ? — Non, tout va bien ; merci, Madame. Ma Maîtresse écarta doucement le rideau. Je baissais le yeux, mais les siens devinrent ronds comme des assiettes en me voyant. — T’es tout simplement magnifique, ma soumise... me dit-elle, le souffle coupé. — Merci, Maîtresse. — Tu la veux ? Je fis un signe affirmatif de la tête avec un grand sourire sur les lèvres. Je me rhabillai et je lui donnai la tenue. Ma Maîtresse paya, et nous décidâmes de passer un peu de temps à l’extérieur pour visiter la ville. Vers la fin de la journée, nous prîmes le chemin pour rentrer en voiture. ...