1. De Papillon De Nuit à soumise (6)


    Datte: 29/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Durant une grande partie du trajet, je me posais toujours plein de questions sur la soirée de lundi lorsque je fus interrompue par ma Maîtresse qui m’adressa la parole. — Cette tenue te va à ravir, ma chienne ; tu ferais bander un âne. — Merci pour ce compliment, Maîtresse, ainsi que pour la tenue. — Il va de soi que le sous-vêtement est prohibé ; mais ça, tu t’en doutes, je suppose. — Oui, naturellement Maîtresse. Comme nous passions à côté d’une petite forêt, ma Maîtresse décida de s’y aventurer ; elle gara la voiture. Pourquoi étai-je tout à coup envahie par un sentiment aussi agréable que déroutant ? — Que fait-on ici, Maîtresse ? — Te voir dans cette tenue m’a vraiment excitée ! me fit-elle en coupant le moteur. — Pour tout vous dire, ça m’a fait quelque chose de l’enfiler. Et si vous êtes excitée, je... — Regarde-moi ! m’ordonna-t-elle doucement. Je déglutis nerveusement et plongeai mes yeux dans les siens. Son regard plongé dans le mien provoqua une sensation chaleureuse en moi. En l’espace d’une seconde, nos respirations commencèrent à devenir saccadées. Sa main droite se posa sur mon genou, remonta rapidement le long de ma cuisse pour caresser mon entrejambe par-dessus mon jean. Ma main gauche exerçait les mêmes gestes, avec la même délicatesse et au même instant que la sienne ; nous étions guidées toutes deux par un irrépressible désir. Nos visages se rapprochèrent lentement, peu à peu. Je fermai les yeux. Je sentais son souffle chaud sur mes lèvres, ce qui me fit ...
    ... frissonner. Nous haletions de concert. — Je te souhaite un joyeux anniversaire en retard, avec toutes mes excuses, Fran... murmura-t-elle dans un souffle. Entendre mon prénom de la bouche de ma Maîtresse me fit rouvrir les yeux de surprise, mais je ne trouvai hélas rien à dire ; aucun mot ne sortit. L’ambiance se trouva changée. D’un seul coup elle devint chaude et sensuelle ; la température était montée d’un cran. Nos regards enfiévrés alternaient de nos yeux à nos bouches ; la mienne était devenue sèche. Nos bouches n’étaient plus qu’à quelques millimètres l’une de l’autre, jouant sans se toucher, exerçant un ballet sensuel. Nos souffles rapides se mélangeaient pendant que nos mains effectuaient d’habiles caresses par-dessus nos vêtements. Nos cuisses s’écartèrent ; nos lèvres se touchèrent enfin, et rapidement nos langues se sont trouvées, faisant connaissance pour la première fois tandis que nous nous enlacions de notre bras libre. Nous nous embrassions très tendrement, goûtant nos salives. Je déboutonnai le pantalon de ma Maîtresse pour plonger directement dans sa culotte ; ce contact lui fit pousser un petit gémissement. Les boutons de mon jean sautèrent rapidement, et nous nous caressâmes fièvreusement dans un concert de gémissements, de plaintes et de cris. Notre corps-à-corps lesbien dura de longues et délicieuses minutes ; nous profitions de cet instant magique pour faire durer le plaisir lorsque je sentis l’orgasme arriver. — Oh, M... Ma... Madame... je... hmmm... ...