De Papillon De Nuit à soumise (11)
Datte: 05/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Je suivis ses directives, ne sachant trop ce qu’elle m’avait fait ; mais à ce moment-là, j’étais certaine d’une seule chose : c’est que j’avais toujours autant envie. La voiture redémarra et sortit rapidement du bois, reprenant le chemin de la maison. Cependant, une sensation des plus curieuses m’envahit sans prévenir : l’objet que ma Maîtresse m’avait inséré dans la chatte se mit à vibrer. J’avais l’impression de me faire masser de l’intérieur, recevant simultanément de mini-décharges éléctriques. Cet objet vibrait de plus en plus en moi, et je ne pus me retenir bien longtemps de haleter et de transpirer. Ce truc augmentait mon désir ; je sentais ma chatte ruisseler, s’ouvrir. Moi, je respirais difficilement au fur et à mesure des vibrations ; je me faisais masturber de l’intérieur. J’avais rarement ressenti quelque chose d’aussi merveilleux, comme pouvaient le laisser entendre mes gémissements de plaisir et mes couinements de plus en plus forts et aigus. — Bon sang, mais tu vas t’arrêter, oui ? Tu m’excites à gémir de cette façon, et j’ai du mal à me concentrer sur la route ! me dit-elle d’une voix amusée par cette situation. — J’y peux rien, Maîtresse Chloé ; c’est plus fort que moi, je vous assure, répondis-je du mieux que je le pouvais, entre deux respirations saccadées. — Pense à ce que tu veux ; nous sommes presque arrivées, mais interdiction formelle de jouir. Si jamais tu exploses, je te punirai avec la plus grande sévérité ! Je n’eus même pas la force de ...
... répondre. Les yeux mi-clos, tentant désespérément de penser à des choses agréables – comme mes plats préférés, un parc d’attraction – qui au final furent immédiatement balayées par des pensées uniquement orientées vers le sexe. Je tentai de serrer les jambes, mais en faisant cela les vibrations se montraient encore plus intenses, accentuant mes sensations ; je dus donc les écarter de nouveau. Je serrais les dents, serrais le siège avec mes mains, me calant au fond, sentant l’orgasme arriver. Je n’avais pas le droit de jouir, mais il se rapprochait, il allait s’emparer de moi, j’allais crier... Je dégoulinais comme une vraie fontaine de mouille ; l’objet vibrait à une vitesse variable, me faisant vibrer à mon tour. Je me persuadais que je pouvais tenir, mais ma volonté s’effondra rapidement comme un chateau de cartes : le plaisir suprême arrivait, je ne pouvais plus tenir, j’avais perdu... Mais tout à coup, l’objet ne vibrait plus du tout, interrompant ainsi la montée du plaisir, me permettant ainsi non seulement de ne pas jouir, mais de me rendre compte que j’avais trempé le siège, pas uniquement de cyprine, mais aussi de sueur. Je me sentis soulagée, mais en même temps frustrée. — Nous sommes arrivées, ma chienne. Allez, descends ; tu vas venir avec moi chercher ta récompense. — Oui, Maîtresse Chloé, avec plaisir, dis-je en sortant de la voiture, dégustant le petit vent frais qui venait me caresser agréablement le visage. Nous n’étions pas encore arrivées dans la chambre de ma ...