De Papillon De Nuit à soumise (11) - Histoires de Sexe

De Papillon De Nuit à soumise (11)

... envahit simultanément. En sueur, épuisées, les cheveux en bataille, mais totalements satisfaites, nous nous sommes embrassées tendrement. Ma chatte quitta la sienne dans un bruit mouillé et je me lovai dans ses bras où nous reprîmes doucement notre respiration. Une de ses mains caressait tendrement ma joue. — Tu as été merveilleuse, ma petite Fran, me dit-elle tendrement, les yeux brillants. — Merci beaucoup ; mais vous aussi, Chloé, vous avez été fantastique. Et, dans un élan romantique, mon visage vint à la hauteur du sien qui rayonnait de bonheur. — Qu’y a-t-il ? me demanda-t-elle en souriant. — Je vous aime, Chloé... soufflai-je avec passion. Son expression changea instantanément en entendant ma déclaration. En une fraction de seconde, il passa de rayonnant à cruel. Elle me saisit par les cheveux avec violence. — Espèce de misérable petite conne, tu as déjà oublié ce que je t’ai dit la dernière fois ? me hurla-t-elle, la voix pleine de colère. — Mais je... Sans me laisser finir ma phrase, nue, elle me tira par les cheveux hors de la chambre. ihxibblw — Viens par ici ; tu vas voir ce que tu vas prendre pour avoir désobéi à mes règles... Allez, avance, grouille ! — Pitié, Maîtresse Chloé, pitié, noooon, pitiéééééé ! implorai-je, me rendant compte trop tard de ma terrible erreur. — Ta gueule ! aboya-t-elle. Nous traversâmes une série de couloirs et prîmes une direction que je connaissais. Elle me força à descendre des escaliers pour arriver à la salle où la ...

... croix de St André était installée. Me rendant compte de la gravité de la situation, je tentai de tout faire afin de la calmer. — Pitié, Maîtresse Chloé, pitié... Je vous jure que je ne le referai plus ! Pardonnez-moi, je vous en supplie... pleurai-je, sachant pertinemment qu’elle resterait sourde à mes excuses. Elle m’attacha solidement à la croix, dans la même position que lors de notre première rencontre. Elle saisit ma mâchoire inférieure et me fixa avec un regard noir. — Je croyais pourtant t’avoir formellement interdit de finir ta phrase, la première fois ; mais visiblement, tu as préféré ne pas m’écouter ! — S’il vous plaît, non, ne me laissez pas ici, je vous en prie... — Ferme-la ! hurla-t-elle en me giflant violemment. Je ne veux plus t’entendre ! Je me rends compte que je me suis montrée beaucoup trop bonne avec toi ; mais maintenant, tu vas être sévèrement punie ! — Maîtresse Chloé, je vous en prie, calmez-vous, je regrette sincèrement, je vous le jure ! Mon visage était inondé de larmes ; mais malgré mes supplications, elle quitta la pièce froide et humide, me laissant nue, toute seule et en sanglots. Elle revint un instant plus tard ; mais au moment où j’ouvrais la bouche pour la supplier de me libérer, elle me bâillonna avec une sorte de boule fixée sur une laisse, m’interdisant toute parole. — Maintenant, j’aurai enfin la paix ! Elle s’en alla et je restai seule, dans le noir le plus complet, nue, à prier pour qu’elle me délivre rapidement. Une suite ?