De Papillon De Nuit à soumise (11)
Datte: 05/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Maîtresse que déjà elle se jettait sur moi en me dévorant de baisers violents. Nos fringues volèrent dans la pièce, et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, nous étions nues. Elle retira l’objet de moi. Il tomba au sol, accompagné d’une quantité impressionnante de mouille. Nos baisers s’arrêtèrent. Elle plongea son regard dans le mien, me prit les mains, m’entraîna sur son lit sans se détourner de mes yeux ; et réunies sur le lit, nos baisers reprirent de plus belle dans un concert de soupirs. Sans comprendre comment, je me retrouvai à califourchon sur elle, trempant son bas-ventre de mon miel abondant. Nos sueurs contribuaient à coller nos corps l’un contre l’autre, notre désir brûlant parlait pour nous. Pendant nos échanges de baisers, je l’aidai à se redresser, ce qui me permit de détailler chaque centimètre de son visage. Brusquement, je la repoussai pour qu’elle s’allonge de nouveau, me mis sur elle en position de 69 et ma bouche descendit sans attendre sur sa vulve trempée que je m’empressai de dévorer, lui faisant pousser un cri étouffé. J’étais devenue complètement folle à force d’attendre... Mon visage plongé entre ses cuisses, je me repaissais de ce mets délicat qu’était sa délicieuse chatte huileuse et offerte. Chaque goutte de sa liqueur intime était une récompense que je m’empressais de boire comme une assoiffée. Je ne l’épargnais pas ; je la mordillais, la léchais, la suçais, mais mes caresses furent interrompues lorsqu’elle se décida enfin à me ...
... prodiguer ses divines caresses buccales. Ses coups de langue étaient habiles ; elle la faisait entrer en moi comme dans du beurre. C’était si intense que je ne pouvais plus la sucer. Elle s’acharnait à me faire coulisser deux doigts tout en faisant glisser sa langue du bourgeon de ma caverne aux plaisirs jusqu’à ma grotte secrète. J’eus rapidement un violent orgasme, et après une minuscule pause je repris finalement mes caresses. Nos orgasmes s’enchaînaient, tous plus puissants les uns que les autres ; mais malgré ma fatigue, malgré nos jouissances, malgré la journée que j’avais eue, j’en voulais encore et encore... Je décidai de descendre de ma Maîtresse et me plaçai de façon à pouvoir effectuer des ciseaux avec elle. Les cuisses écartées, j’agrippai à deux mains sa jambe légèrement surélevée, plaquai ma vulve contre la sienne et commençai à onduler lentement du bassin. Les premiers gémissements ne se firent pas attendre, et la pièce fut envahie par des bruits de succion provenant de nos chattes qui se caressaient l’une avec l’autre, accompagnés de nos gémissements. — Oh merde, Fran, mais où as-tu appris à faire un truc comme ça ? hoqueta ma Maîtresse. — Vous m’inspirez tellement, Chloé... J’ai envie de vous faire gueuler jusqu’au bout de la nuit ! hoquetai-je à mon tour, pleine de confiance et d’amour. — Oh, putain, ça vient encore... Je vais jouiiiiir... cria-t-elle, visiblement en transe. — Oh, ça vient pour moi aussiii... Oh, la vaaaaache ! criai-je. Le plaisir ultime nous ...