1. Le train est bondé


    Datte: 01/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... compressé contre moi. Sa main coincée le long du corps jouxte mon sein gauche. Il ne peut guère faire mieux que bouger les doigts pour ne pas se faire repérer. Sauf par l'autre qui me fait face. Lui a tout loisir de voir. Et si ces deux là se connaissaient ? L’homme en face bascule son bassin un peu vers l’avant et cette fois, il vient frotter son pantalon contre mon visage. Je détourne la tête pour m’esquiver, mais je le fais sur la gauche pour me retrouver contre celui plaqué contre mon épaule. Je réalise soudain que je suis encadrée de face et sur le côté par deux braguettes de pantalon d’hommes dont je ne vois même pas le visage. Heureusement, je suis dissimulée à la vue des autres passagers. A ma droite ma voisine semble toujours endormie, indifférente à la situation tendue du moment. Le train roule maintenant à vive allure. A chaque secousse, je n’y peux rien mais le contact avec mes deux voisins se fait plus appuyé. Le feraient-ils en toute conscience ou suis-je en train de fantasmer ? Non, ce n'est pas possible, je me fais des idées. Mais très vite, une certitude m'envahit quand je sens que celui à ma gauche se frotte ostensiblement contre mon épaule et que ce que je sens de dur n’est rien d’autre que sa bite derrière le fin tissu de son pantalon. Je panique ! Je jette un regard autour de moi. Rien ! Personne ne semble se rendre compte que je suis prise en sandwich entre deux « frotteurs ». Deux sexes d'hommes. Impossible de bouger, encore moins de manifester mon ...
    ... indignation. Je ne vois pas comment m’échapper. A ce moment un sentiment étrange s’empare de moi. Je suis victime et en tant que tel, innocente devant tous les préjugés et condamnations de bonne morale éventuelle. Alors je fais fi de ma bonne éducation et de mes tabous : je laisse faire et j’accepte déjà ce qui peut advenir. La situation est si particulière et pas prête à se renouveler. Aussi je ne fais rien quand celui qui est devant moi avance très légèrement sa main et me frôle la pointe d'un sein, comme si de rien n’était ! Aussitôt mon téton réagit à ce simple contact. Mon peloteur s'en rend immédiatement compte. Il ne se gêne plus pour le prendre dans sa main et le malaxer fermement mais discrètement pour éviter de se faire repérer. Mon voisin de gauche a saisi l'aubaine et à son tour il caresse de ses doigts le sein proche de lui. Je ferme les yeux, excitée par le contact de ces mains et la promiscuité des autres voyageurs dont je ne peux croire qu'ils ne se rendent compte de rien ! Les frottements commencent à me donner chaud. Je me sens de plus en plus prête à m’abandonner. La peur du danger s’estompe avec l’excitation qui croît. Je ferme les yeux pour goûter la main à peine posée sur mon sein gauche et l’autre sur son jumeau par l’inconnu devant moi. Ils me touchent à peine mais cela me suffit. Mes pointes sont dures et me font presque mal ! Soudain un bruit m’interpelle. Juste devant mon visage l’homme ouvre sa braguette. Panique ! Il ne va pas sortir sa queue. Pas ...