Le train est bondé
Datte: 01/01/2018,
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Dans la zone rouge,
... possible. Et bien si ! Lentement, toujours avec des gestes à minima, pour ne pas se faire repérer par l’entourage, je vois sa main descendre et le pantalon s’ouvrir. Il passe une main à l’intérieur et extirpe sa bite toute molle, comme recroquevillée sur elle même. Il ne bande pas contrairement à son complice à ma gauche qui frotte une verge dont la dureté et la taille ne laissent aucun doute sur son niveau d’excitation. Devant moi, l’homme se cambre encore plus jusqu’à amener son gland encore caché par son prépuce au niveau de mes lèvres. Je ne me défile pas. Au contraire je reste là, bloquée à attendre qu’il approche. Il vient doucement se poser sur mes lèvres. Je n’ose pas bouger mais je ne peux résister à cet appel. Alors lentement comme pour ne pas éveiller des soupçons ni réveiller le diable, je sors ma langue et viens délicatement lécher cette bite qui m’est offerte. De petits coups sur le méat dont j’adore le goût et l’odeur. L’odeur ! Soudain je me dis que si l’entourage ne peut rien voir, il peut sentir ces odeurs de sexe. Surtout que je sens parfaitement que je suis en train de mouiller ma culotte. Peu m’importe, j’ai envie de sexe, de bites, de queues et je perds maintenant la tête. L’homme à la bite sortie en profite pour décalotter son gland. Il est tout luisant de sécrétions et très vite sous l’effet de mes petits coups de langues, il augmente de volume pour finalement se dresser jusque devant mes yeux. Son propriétaire s’en saisit et le passe sur mon visage ...
... l’enduisant de sa mouille. Sur mon côté gauche, l’homme ne perd pas une miette de la scène irréelle qui se déroule dans ce wagon de train de banlieue. Il accentue les caresses sur ma poitrine tout en se frottant contre mon bras. Ces simples caresses m’excitent tellement que je sens que je vais jouir. Il se saisit de la pointe du sein à sa disposition et le pince un peu fortement. Je dois serrer les dents pour ne pas crier au bord de la jouissance ! Le tableau est irréel. Serrée dans un train, un homme frotte sa bite contre mon bras et me pince un téton à m'en faire mal, un autre, en face, me donne sa bite à lécher tout en me caressant l'autre sein. Et moi je suis au bord de la jouissance, soumise à ces caresses et exposée en public ! A aucun moment je cherche à me dérober, complice abandonnée soumise à ces deux inconnus et à ma jouissance naissante. Mais soudain, le train ralentit. On arrive à une station. En face l'homme cache rapidement son sexe encore tout droit. Nous sommes tous les trois paniqués. Tout ceci n'a duré que dix minutes, le temps d'arriver à la première station où des voyageurs descendent. La voiture se vide en partie. Mes deux violeurs s'écartent, me sourient. Ils ne s'éloignent pas. Je suis angoissée. Je n'ai pas le courage de regarder autour de moi, affolée à l'idée que ma débauche a eu des témoins. A mon arrivée à la gare de destination, je me lève et j'ose un regard dans le wagon presque désert maintenant. Horreur, une femme BCBG est assise juste derrière ...