Une belle-mère attentionnée
Datte: 01/01/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
alliance,
Masturbation
massage,
intermast,
bellemere,
Résumé du premier épisode : «Ma belle-mère aime les massages » Veuve à cinquante-deux ans, ma belle-mère Louise avait promis à son mari sur son lit de mort une période de cinq années d’abstinence. Vers la fin de sa quatrième année, je lui ai fait découvrir l’art du massage, ce qui lui a permis de contourner cette promesse. Car pour elle un massage, même érotique et sensuel, restait quand même un massage… Elle avait alors cinquante-six ans et moi, son gendre, trente-cinq ans. Durant le mois de mai, personne n’aurait pu deviner qu’il s’était passé trois soirées d’une telle intensité sensuelle entre ma belle-mère et moi. Ma femme m’a tout de même signalé un jour qu’elle trouvait sa mère moins agressive vis-à-vis de moi, ce à quoi je lui répondis que le fait que je lui ai monté ses courses le soir où elle était KO devait y être pour quelque chose. Cela dit, comme d’habitude, nous faisions en sorte de ne pas avoir à nous croiser en public trop souvent, ce qui nous arrangeait tous les deux. Et quand cela arrivait, elle continuait à me faire ses bises de pestiféré… Je dois bien reconnaître qu’à ce moment-là, je me suis posé la question de savoir si j’étais capable d’aller avec Louise au-delà d’une relation simplement visuelle, au cas où cela se présenterait bien sûr. Notamment vis-à-vis de ma relation de couple avec Sophie, sa fille. Il se trouve que j’avais découvert par hasard, quelque temps auparavant, que ma femme continuait à entretenir une relation avec un de ses anciens ...
... amants. Après une scène assez difficile, autant pour elle que pour moi, elle m’avait avoué que ces quelques « coups de canifs dans le contrat » étaient uniquement sexuels, et que cela lui procurait un équilibre qui lui permettait de mieux m’aimer… Ce fut difficile pour moi d’intégrer cela, surtout que nous faisions l’amour régulièrement avec toujours autant de passion. Mais vu le nombre d’amis qui divorçaient autour de nous, je me suis dit alors que cela méritait réflexion. Et au final, vu l’équilibre que nous avions acquis ensemble, et surtout que nous nous aimions réellement, j’avais accepté cela en lui disant quand même que si de mon côté un jour j’en ressentais l’envie et le besoin, je m’autoriserais aussi cette liberté sexuelle. Je n’avais jusqu’à cette époque pas utilisé cette clause établie entre nous… Environ dix jours avant la fin du mois, il s’est passé un événement qui mérite d’être relaté ici. Un samedi après-midi, alors que ma femme et moi étions chez ma belle-mère et les enfants chez leurs copains, nous préparions le repas d’anniversaire de ma fille, petite cérémonie que nous partagions généralement avec Louise, chez elle. Elle était partie à la piscine communale ce jour-là, comme tous les samedis après-midi, car même si elle avait une piscine chez elle, elle aimait « faire des longueurs » dans les lignes réservées aux semi-professionnels. Alors que je revenais en maillot de bain du solarium extérieur, ma femme me dit : — Je te laisse une petite demi-heure, je dois ...