Une belle-mère attentionnée
Datte: 01/01/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
alliance,
Masturbation
massage,
intermast,
bellemere,
... une banane qui essaye de soulever ma jupe et de se coller contre mes fesses… Quel sens de l’humour la belle-mère ! — C’est sans doute la banane de l’amour qui essaye de vous masser ainsi, Louise, répondis-je.— Ah ! Alors, si c’est un massage particulier, il faut la laisser faire, Éric… Et elle se pencha légèrement en avant, sa jupette remontant alors en découvrant sa sublime petite culotte blanche, et fit de petits mouvements de hanches pour bien caler complètement ma bite à l’intérieur de sa raie culière. Puis une fois fait, elle se redressa alors que je commençais à aller et venir très doucement entre ses fesses. Et même si nous avions gardé elle, sa culotte, et moi, mon maillot, l’élasticité des très fins tissus permettait que je plonge ma queue profondément à l’intérieur de son cul. C’était divin ! De plus, alors que j’avais glissé mes mains sous son tee-shirt et soulevé son soutien-gorge pour caresser ses seins, elle tourna sa tête vers moi et m’embrassa en me fourrant à nouveau sa langue dans la bouche. C’était très bon, très sensuel, très romantique aussi. Nous nous régalâmes ainsi, ma bite allant et venant doucement dans son cul de rêve, alors que mes mains malaxaient ses seins durcis de plaisir et qu’elle avait glissé une main dans sa culotte pour se caresser… Le plus pur des bonheurs. Nous restâmes ainsi un long moment à savourer ce cadeau imprévu et exaltant que nous nous sommes offert. Jusqu’à ce que nous entendions les cris des enfants revenant de chez leurs ...
... copains. Nous nous rajustâmes alors rapidement, puis elle me dit : — Vous me manquez terriblement Éric, revenez-moi vite…— Vous aussi, Louise, vous me manquez. Il me tarde de vous retrouver dans notre nid d’amour… J’avais dit ça au hasard, mais ce mot « amour » prit alors entre nous une connotation forte. Elle se retourna vers moi et me regardant dans les yeux dit : — « Amour », c’est cela, Éric… c’est le bon mot. Et elle m’embrassa rapidement une dernière fois avec fougue. La veille de mon départ pour Paris début juin, je reçus un court mail d’elle, ce mail disant simplement : * * * Le lendemain j’étais à Paris comme prévu, et à 19 h 30, je sonnai chez Louise. Dès que la porte s’ouvrit, elle m’accueillit en me faisant une longue bise appuyée sur les lèvres puis me prit par la main pour m’amener dans le salon. Je me souviens bien que ce soir-là son corsage largement ouvert laissait apparaître ses seins lourds et voluptueux, et que son caleçon de sport lui collait au corps comme une deuxième peau. Et cela ne devait rien au hasard… — Ah, Éric, comme cela a été long toute cette période d’attente ! Vous devriez avoir plus de formations à faire sur Paris, dit-elle avec un léger sourire.— Oui, belle-maman, mais on ne peut pas toujours être en formation, non ? Que diraient les employeurs, lui répondis-je du tac au tac avec un rien de provocation. Ma réponse la fit sourire… — Le principal c’est que vous soyez là, j’ai vraiment besoin de vos massages ces jours-ci. Surtout les fessiers, ...