Une belle-mère attentionnée
Datte: 01/01/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
alliance,
Masturbation
massage,
intermast,
bellemere,
... passer chercher la pièce montée que j’ai commandée pour ce soir. Et elle me quitta, me laissant seul chez Louise. À peine cinq minutes plus tard, j’entendis la porte s’ouvrir et Louise entra dans la cuisine où je prenais un café. Elle était habillée d’une petite jupe de tennis très courte et d’un tee-shirt très léger, celui-ci lui collant au corps comme une deuxième peau. — Bonjour, me dit-elle froidement. Ils ont fermé la piscine plus tôt que prévu, je n’ai pu nager qu’une heure. Sophie est là ? Un peu surpris de cette arrivée inattendue, alors que j’étais vêtu uniquement de mon maillot de bain, je répondis à sa réponse concernant ma femme : — Non, Louise, elle est allée faire une course. Et les enfants étant chez leurs copains, nous sommes seuls pour une petite demi-heure… Elle se figea alors, hésita sur la conduite à tenir, visiblement décontenancée. Puis elle posa son sac de sport à terre et me regarda fixement. Si un silence lourd s’établit entre nous, petit à petit je vis son visage devenir plus ouvert, presque souriant. Et elle se dirigea vers moi, planté comme un piquet au milieu de la pièce. — Mais je n’ai pas dit bonjour à mon gendre, dit-elle. Comment allez-vous, mon cher Éric ? Et elle me passa ses bras autour du cou et déposa d’abord un léger baiser sur mes lèvres, avant de forcer ma bouche avec sa langue pour me rouler un patin comme elle seule savait faire… Quel régal que cette langue collée à la mienne, m’emplissant complètement pour que je la mordille et la ...
... suce en même temps ! Ceci alors qu’elle poussait des petits feulements de plaisir… Hummmm, quel délice ! Elle me baisait la bouche… Et comme son corps vint se coller contre moi, cela bien sûr provoqua un peu de remue-ménage dans mon maillot ! En se décollant d’un seul coup, elle baissa son regard sur la bosse qu’elle avait provoquée et donna une petite tape dessus en disant : — Oh, le coquin ! Il n’a aucun respect pour sa belle-mère ! Et devant ma mine un peu déconfite, elle éclata de rire. Elle se tourna alors vers la fenêtre ouverte de la cuisine, et regarda dehors sans rien dire. Après quelques secondes d’hésitation, je m’approchai doucement et posai mes mains sur ses hanches. Elle sursauta un peu, mais ne dis rien et ne bougea pas pour autant. Puis j’enlaçai sa taille et vins poser ma tête contre la sienne. Je l’entendis alors souffler légèrement en disant des mots inaudibles, tout en reculant ses hanches et en collant à nouveau son corps contre le mien. La serrant fortement dans mes bras, sa tête contre la mienne et ma bouche dans ses cheveux, c’était un moment fort de tendresse entre nous, une sorte de déclaration que nous nous faisions l’un à l’autre. Et nous restâmes ainsi quelques instants, nos cœurs battant la chamade à l’unisson. Mais bien évidemment, si nous appréciions alors ce moment de romantisme et de tendresse, il y avait une certaine « émotion » pour moi de serrer ses fesses contre moi… Je l’entendis dire : — Éric, c’est amusant, j’ai l’impression qu’il y a ...