Une belle-mère attentionnée
Datte: 01/01/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
alliance,
Masturbation
massage,
intermast,
bellemere,
... son plaisir… jusqu’à ce qu’elle se mette à tressauter plusieurs fois dans tous les sens, en poussant des gémissements accompagnant son orgasme ! Elle cria alors : — Hummmmmmmmmmm… Mais que c’est bon ! Que c’est bon ! Hummmmmmmmmm… Quel orgasme ! Ma main que je retirais doucement de sa chatte était complètement trempée. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle ne boudait pas son plaisir ! Elle mit un peu de temps à s’en remettre. Cela avait été si fort qu’après la vague déferlante de plaisir qui l’avait emportée, elle se calma petit à petit et resta immobile quelques instants, encore dans un autre monde. Je ne disais rien, j’appréciais la situation et visiblement, elle aussi. Elle ouvrit les yeux, me regarda, et me sourit très tendrement. J’imaginais qu’à ce moment-là, j’étais dans son monde de sensualité. Quelle belle complicité… Puis elle se releva, regarda ma bite toujours au garde-à-vous, la saisit brusquement et se mit à la remuer d’abord doucement, puis plus fermement… puis de plus en plus rapidement et fermement… ! Et cela devient si brusque que j’avais l’impression qu’elle me trayait. Et elle me dit alors avec sa voix redevenue légèrement rauque : — Vas-y, donne-moi tout ton jus de couille ! Je suis ta vide-couille préférée ! Gicle tout ! Tout autant que le fait qu’elle me branlait comme on trait une vache, les mots crus et le tutoiement quelle employait à nouveau firent rapidement monter le plaisir en moi. Cerise sur le gâteau, elle mit deux doigts de sa main ...
... libre dans sa chatte, les sortit imprégnés de ses nectars intimes, et me les approcha du visage en disant : — Ouvre la bouche, salopard, lèche, suce, et n’en laisse pas perdre une goutte ! Et elle me les enfourna dans la bouche, moi ne pouvant que lécher ses doigts et avaler cette délicieuse liqueur très suave… Sentant le plaisir monter en moi, elle approcha ses seins de ma queue. Et j’eus alors un orgasme absolument fabuleux. Surtout qu’elle me serrait les testicules d’une main et tenait ma bite de l’autre, à la manière dont elle aurait pu tenir une bombe aérosol de Chantilly ! Sauf que c’est une autre sorte de crème fouettée que je déchargeai par de longues et belles salves qui vinrent s’étaler largement sur ses seins complètement recouverts. Quel moment extraordinaire… Une grande jouissance physique, mais aussi très cérébrale. Car je ne pouvais m’empêcher de penser que cette femme au comportement distant, hautain et dédaigneux qu’était ma belle-mère habituellement, eh bien, cette femme était la même qui était ici nue, que je venais d’abord de faire jouir, et qui ensuite venait de ma branler en me disant qu’elle était « ma vide-couille préférée »… ! Elle me regarda alors, et doucement commença à passer ses mains sur ses seins, et à les masser avec ce qu’elle venait d’appeler mon « jus de couille ». Et elle allait et revenait, les faisant se dresser comme jamais je ne les avais encore vus dressés. Beaucoup de classe ! Et reprenant sa voix douce elle me dit : — Regardez, mon cher ...