Trithérapie
Datte: 05/07/2017,
Catégories:
hhh,
inconnu,
grossexe,
plage,
Oral
hdanus,
hsodo,
Gay
... jouissance à l’instant où il jouit en râlant comme s’il souffrait. Je comprime sa queue pour l’aider à bien décharger, caressant le doux souvenir du temps où mes amants ne mettaient pas de préservatifs. Recevoir la jouissance d’un homme qui prend plaisir à faire les choses bien est si agréable, où que ce soit ! Il s’immobilise, le bassin contre mes fesses, me laissant encore l’apprécier quelque temps tout en pompant l’autre queue, toujours aussi délicieuse d’ailleurs. Il ne semble pas vraiment sur le point de jouir non plus, je vais peut-être « avoir le droit » à sa présence dans mon ventre. Le grand se retire doucement, laissant ma porte grande ouverte et mon ventre « tout chose », tout chaud, prêt à remettre ça dans les mêmes conditions. — Tu veux aussi ? risqué-je, d’un ton faussement timide.— J’aime bien faire ça dans le confort. Mon collègue, lui, ne pouvait plus tenir. Il en avait besoin.— Vous ne pouvez pas me laisser comme ça, les gars. J’ai encore envie de vos queues ! répondis-je presque dépité. On peut aller ailleurs, même à l’hôtel si vous voulez.— Tu viendrais chez nous ? lance alors le grand, qui pourtant vient de jouir. Ils habitent un petit village. Il se trouve que ce petit hameau se trouvait sur la route pour rentrer chez moi. Les 30 minutes de route à les suivre n’ont pas calmé mes ardeurs, bien au contraire. Les choses ont si bien commencé. La place est éclairée par un vieux lampadaire, aucun bruit ne nous parvient. La seule âme éveillée du hameau ...
... semble être celle du chat blotti sous une voiture. Une dizaine de marches en pierres nous emmènent à leur appartement au premier étage d’une jolie maison de village. L’intérieur est sympa, tout refait, très propre. Le « grand » m’explique que c’est Manu qui a tout refait. En bon portugais, il est maçon. Le prénom du grand, je l’ai oublié depuis. Il était infirmier, si ma mémoire est bonne. Si on l’appelait Luc pour simplifier le récit ? La bière qu’il m’offre est bienvenue. Manu s’absente quelques instants, l’eau coule pas très loin, on reste à bavarder à la cuisine, parlant de mecs, de plans foireux et autres aventures. Je le félicite pour la performance qu’ils m’ont offerte sur la plage. Bien qu’ils soient en couple, ils sont actifs tous les deux et « s’offrent un mec passif » assez régulièrement. Son collègue réapparaît. Pas grand, l’homme. Mais pas un gramme de graisse, des muscles superbement dessinés, peu de poils, et un sexe d’une beauté indécente. Un vrai taurillon, tant pour le volume de ses couilles pendantes à souhait que par sa queue aussi épaisse que longue. Son visage est souriant, son teint hâlé… il n’y a pas grand-chose à jeter. — Pendant que tu lui montres la chambre, je prends également une petite douche, dit l’infirmier. On passe sous une petite voûte en pierre et je découvre le grand lit. Il allume une toute petite lampe et revient jusqu’à moi. Mes jeans glissent, mes pompes volent. Ma chemise résiste peut-être cinq secondes avant que mes mains retrouvent son ...