1. Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (3)


    Datte: 02/01/2018, Catégories: Hétéro

    ... qu’elle n’est pas malheureuse. Elle est surtout chiante et les gens qu’elle côtoie un peu trop longtemps en ont vite leur claque, car ça devient rapidement insupportable de l’entendre tout le temps se plaindre, en une longue litanies de contrariétés qu’elle débite comme si son chemin était jonché d’embûches, d’obstacles pour lesquels elle devait déployer des efforts permanents afin de les éviter. Je comprends que sa fille chez qui elle vit maintenant depuis des mois, doit finir, même si elle garde son petit-fils, par trouver que c’est une sinécure de l’avoir du matin au soir chez elle. Enfin, ça n’est pas mon affaire. En fait, c’est un tempérament comme ça. Elle a toujours été comme ça, elle ne sait pas fonctionner autrement. Je lui propose un thé. Tandis que nous buvons le liquide brûlant et que nous discutons - ou plutôt que je l’écoute, je devrais dire (elle ne s’arrête jamais de parler, et je n’ai pas franchement envie de lui raconter la mienne de life, ça tombe bien) - je vois que son peignoir s’ouvre de plus en plus. Ça n’a pas l’air de la déranger ; elle continue de me parler d’un air las, son regard un peu dans le vague, mais avec un air évaporé que je lui connais bien. La parfaite hystérique fait son petit numéro, l’air de rien, avec ses petits sourires en coin, ses manières d’allumeuse. Je me dis qu’elle n’a pas encore eu sa dose, et moi non plus d’ailleurs. Bon, j’avoue je me suis un peu « dopé » avant qu’elle arrive. Et quand elle me fait comprendre qu’elle ...
    ... est fatiguée et qu’elle ne va pas tarder à aller se coucher, je lui dis : « - Attends ma chérie. Avant que tu montes, tu vas me faire une petite pipe, je suis en forme et j’ai encore envie. — Oooh » proteste-t-elle. Elle ne va quand même pas me refuser. Je ne vais pas la foutre dehors ce soir alors qu’elle est en peignoir et qu’elle s’est installée, mais je suis décidé à rester ferme, et à lui dire qu’elle va dégager demain matin si elle ne paie pas son écot. J’insiste, je me montre autoritaire et intransigeant. Je lui ordonne sur un ton sans appel qui ne lui laisse pas le choix : « - Allez, dépêche-toi ! Tu viens ici et tu te fous à genoux. Schnell ! » Elle finit par céder, je vois dans ses yeux une lassitude qui m’indique qu’elle n’a pas l’intention de discuter. Il faut dire que je me suis levé, que mon regard droit dans le sien ne rigole pas, et que mon doigt pointé vers le bas lui désigne l’endroit où elle doit s’agenouiller. Elle se lève mollement, vient en traînant les pieds jusqu’à l’endroit que je lui montre, juste devant moi. Avant qu’elle descende sur ses genoux, j’attrape les pans de son peignoir et lui fais passer brutalement par-dessus ses épaules et jusqu’à la taille, mettant à l’air sa poitrine. Elle a vraiment de beaux seins, et qui tiennent encore bien pour son âge. « - Seins nus ! Quand une femme me suce elle doit toujours être seins nus » lui intimé-je. Elle me regarde ahurie, un peu surprise de mon geste brutal. Mais elle comprend que quand j’exige je ne ...
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