1. Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (3)


    Datte: 02/01/2018, Catégories: Hétéro

    ... homme dans sa vie (son mari dont elle a divorcé il y a déjà pas mal de temps, et maintenant décédé, que je n’ai pas connu : je me dis qu’il était peut-être un piètre amant, un mauvais baiseur, un coincé du cul comme elle), il lui a fallu arriver à soixante balais pour se dévergonder, et se même se faire baiser convenablement. Et pour ça, question baise, je fais le serment qu’elle va avoir sa dose d’ici à la fin de la semaine ! Elle commence à faire des va-et-vient agréables, ses jolies lèvres glissant sur ma hampe avec un mouvement délicieux, presque artistique, et se payant même le luxe de me sucer le gland de façon insistante à chaque fois. On dirait presque qu’elle est en train d’y prendre goût. « - Ouaiiiis c’est bien ma chérie. Tu apprends vite... » Elle ne fait aucune remarque. Je prends doucement sa jolie tête à deux mains et commence à imprimer des mouvements d’ondulation en donnant des coups de reins souples. Ma queue va progressivement de plus de plus loin sans que ça ne lui pose vraiment un problème. Elle commence à m’exciter de plus en plus, cette salope. « - Allez, relève-toi.» Je l’aide et lui enlève totalement son peignoir, et la guide en la faisant se placer devant la table de cuisine, l’invitant à s’y appuyer et à se pencher en avant. « - Je vais te baiser. Tu sais que tu as un cul fabuleux. — Oui, mais tu ne m’encules pas, j’ai encore mal... — Alors ça, ma vieille, je vais commencer par t’enfiler la chatte, mais après je te prendrai le cul, taratata ! — Oh ...
    ... nonnn. — Ne discute pas, c’est moi qui décide. Et je me fous bien qu’à la fin de la semaine tu ne puisses plus t’asseoir et que tu repartes les jambes écartées ! Je t’ai dit que la pension était chère, ici. » Et là-dessus, alors que je lui écarte les cuisses d’autorité avec le plat de la main, je présente mon vit entre ses belles lèvres roses et la pénètre doucement. Elle est brûlante mais souple, et son mignon petit fourreau m’accueille comme s’il connaissait déjà bien son maître. Je la prends par ses belles hanches, larges comme une amphore, et je me mets à la besogner vigoureusement, à un rythme soutenu ; je sens progressivement au son de ses halètements, de ses gémissements, qu’elle est en train d’y trouver son compte. Je ralentis un peu, la redresse, la plaque contre moi, je m’enfonce et me retire lentement, je lui pelote les seins dont je constate que les pointes sont toutes dures, je joue avec elles, ma bouche glisse dans son cou, j’ai le goût de son fond de teint, de son eau de toilette chic, un goût un peu amer ; un peu langoureusement elle tourne sa tête vers moi, je prends sa bouche qu’elle m’offre, nos langues se mêlent. J’apprécie ce don qui me prouve qu’elle apprécie, que je lui donne du plaisir malgré tout, qu’elle est toute excitée, qu’elle va encore prendre son pied. Je l’héberge et je la régale, j’ai l’impression de me faire un peu avoir, mais après tout c’est moi qui la prends, j’y prends du plaisir, elle est à ma merci, j’impose mes règles, je la prends ...
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