1. Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (3)


    Datte: 02/01/2018, Catégories: Hétéro

    ... travail et à la lâcher vite fait. J’ai une vie directe sur ses beaux seins, un peu étalés dans cette position. Je les caresse, les pelote, tout en lui assénant des coups de boutoir qui ébranlent toute la table. Je ralentis, la lime très lentement, puis je change de rythme et accélère brutalement, lui arrachant des cris. Je suis un fauve, je suis un lion, je la travaille au corps, je vais l’avoir, cette salope ! Sa tête roule de droite et de gauche, elle a un air évaporé, comme d’habitude. Je ralentis encore mais pour lui donner des puissants coups de reins, des coups de bélier ; sa voix aiguë se fait entendre, déchirée, cassée alors que je lui défonce le pot. De ma main gauche je lui branle le bourgeon et de la main droite je lui pelote alternativement et avidement les deux seins. Mon plaisir est long à monter, je suis plein de ressource, mais je commence à en avoir plein les pattes. Finalement c’est elle qui part, émettant un long feulement, tout son bassin secoué de spasmes ; elle me serre la bite convulsivement, elle me fait de l’effet, la salope. Je lui ordonne de descendre de la table, la fais mettre à genoux ; elle grimace et s’exécute à regret : j’enlève ma capote et m’astique à vitesse élevée juste devant sa jolie petite gueule. De temps en temps, je la lui mets dans la bouche et lui demande de me sucer. Elle s’applique, elle est bonne élève. Ça met de longues minutes avant de monter. Je lui pinçote le bout ses seins, ...
    ... elle piaille. Je finis par me dire que je ne vais pas réussir à jouir mais quand même, je sens comme une brûlure dans ma queue, la sève vient. Je lui remets en bouche et lui annonce : " - C’est bon ma chérie, ça vient. Je vais te donner ton dessert, tu l’as pas eu." Elle lève des yeux inquiets vers moi. Tout en lui caressant les cheveux je lui maintiens bien la tête en place et je décharge dans sa bouche, elle se prend la crème qui atterrit sur sa langue. " - Allez, avale. C’est bon, c’est sucré. Ça ne te fera pas grossir, t’inquiète" lui dis-je d’une voix rauque tandis que je finis de me répandre. Elle prend un air dégoûté, et se lève précipitamment, part cracher dans les toilettes. Le contraire m’aurait étonné. Elle revient avec un air écœuré, se sert un verre d’eau. " - Qu’est-ce que t’es bégueule ! Comment tu voudrais rendre heureux un homme si tu fais autant de manières...? — Oh ça va, hein... ! — Allez, tu peux aller te coucher maintenant si t’es fatiguée » lui dis-je en lui assénant une grande claque sur la fesse qui résonne dans la pièce et la surprend. « Tu vois, t’es toujours pareille : tu prends mais tu ne donnes jamais rien. — Mais là j’ai pris ! » répond-elle, non sans humour ni malice. wviwrryo « - Oui c’est vrai, tu as pris quelque chose ! Dommage que tu ne gardes pas les cadeaux que je te fais, quand je te rends hommage. » Je l’enlace un instant, l’embrasse à pleine bouche : « - Allez. Bonne nuit. A demain. » 
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