1. Rousse Nymphe (suite)


    Datte: 02/01/2018, Catégories: f, h, fh, Collègues / Travail Masturbation intermast,

    Le lendemain matin, j’arrivai au bureau la tête encore pleine de mes exploits solitaires de la veille. Je saluai les premiers collaborateurs matinaux tout comme moi et m’installai à mon bureau. Mon assistante arriva quelques minutes plus tard. Elle me salua d’un "bonjour patron" et me fit deux bises. Cécile était vêtue ce matin là d’un tailleur-pantalon noir et d’un spencer assorti. Je reluquais ses petites fesses d’adolescente, elle surprit mon regard admiratif et me sourit gentiment. Je vaquais à mes occupations toute la matinée et j’enchaînais rendez-vous après rendez-vous. Cette activité me permit de me ressaisir, et d’évacuer ma nymphette rousse de mes pensées. À mon retour vers 15 heures, Cécile vint me voir pour me faire signer le courrier du jour. Elle me dit : — J’avais oublié mon écharpe hier soir au bureau.— ah, dis-je tout penaud.— Oui, ce matin j’ai senti ton parfum en la prenant en main. Je bafouillais une réplique inintelligible en sentant mes joues rosir. Elle me regarda avec ses yeux verts rieurs et me fit un sourire coquin. Cécile était debout face à mon bureau, j’étais assis là à la regarder. Son parfum de violette m’enivrait, j’étais pétrifié par l’idée que les taches de mon plaisir aient pu maculer ce bout de laine. — Tu sais, me dit-elle, un beau mec comme toi ne doit pas rester célibataire, ce n’est pas bon Mon assistante savait que ma dernière petite amie m’avait quitté, elle en fut très peiné pour moi. À cela, je lui rétorquais que je pouvais me ...
    ... prendre en main tout seul, je n’étais plus un gamin. Elle sourit encore davantage et dit : — Oui, tu sais te prendre en main, je l’ai remarqué. Je ne saisis pas immédiatement son jeu de mot, mais au bout de quelques secondes, je me sentis devenir rouge comme une tomate, la sueur perlant sur mon front. — Oooh, tu rougis comme un puceau pris sur le fait, comme c’est mignon, me dit-elle pour me taquiner. Je ne savais plus à quel "sein" me vouer, tellement j’étais mal à l’aise. Mon assistante me confia ensuite : — Hier soir, je suis retournée au bureau pour chercher l’écharpe oubliée. Ne la voyant pas accrochée au porte-manteaux, j’ai fureté partout. Je suis passée devant la porte des toilettes, car j’entendais des gémissements étouffés. Ne t’ayant pas vu au bureau, j’ai pensé que c’était toi qui avait un malaise. Mais j’ai vite compris en tendant l’oreille que les toilettes diffusaient des râles de plaisir. Je suis donc restée derrière la porte pour t’écouter jouir.— Mon Dieu !, ai-je réussi à dire, paralysé par la suite qui m’attendait.— Et, je peux te dire mon Boss chéri que lorsque tu as crié mon prénom en jouissant, j’en fus très extrêmement touchée.— Mais, mais….— Tsst Tsst, ne dis rien, tu t’es pris en main tout simplement, mais je dois avouer qu’en tant qu’assistante, de savoir que mon patron se masturbe en pensant à moi, cela a quelque chose de très touchant, surtout en sachant que tu étais juste derrière la porte. Je ne pus rien dire, j’étais pris la main dans le sac. Cécile ...
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