1. Rousse Nymphe (suite)


    Datte: 02/01/2018, Catégories: f, h, fh, Collègues / Travail Masturbation intermast,

    ... tenta de me rassurer en me confirmant qu’à part elle, personne n’était au courant, elle me fit également remarquer que je fus très prévenant de ne pas avoir maculé son écharpe. Je ne dis plus aucun mot, je ne sus d’ailleurs quoi dire. — Ne t’inquiète pas, cette discussion restera entre nous. Ce sera notre petit jardin secret, mon petit boss chéri. Sur ces derniers mots, elle quitta mon bureau en me lançant un clin d’oeil. Je restais seul avec moi-même en tentant d’évaluer les conséquences de mes actes et de ce que m’avait dit Cécile. Apres mure réflexion, je décidais, qu’aucune preuve ne subsistant, il était inutile de me faire un sang d’encre. Cependant, je m’interrogeais sur ma relation avec ma secrétaire. "Vous avez un nouveau message" s’afficha sur mon écran. Je cliquais et vu que le mail provenait de Cécile. Je l’ouvris et lu : "Mon Boss chéri. Je désirais te dire d’autres mots tout à l’heure, mais par pudeur je n’ai pas osé, alors je te les écris. Comme je te l’ai dit avant, j’ai été très touchée par ce que j’ai entendu hier soir. Jamais, je ne pouvais imaginer que je te faisais un tel effet. Apres tout, c’est toi qui m’a recrutée et cela je ne l’oublie pas. Je suis une femme mariée et maman d’un petit garçon, cela tu le sais aussi, mais je ne suis pas insensible à ce que j’ai découvert te concernant. Je n’arrête pas de penser à toi, hier soir aussi, je fus très remuée. Si tu le souhaites, nous en reparlerons en privé. Bises. Cécile." Je lui répondis par un simple "ok" ...
    ... et je détruisis le mail. Le reste de la journée se déroula normalement. Mon assistante débordait d’énergie et de prévenance à mon égard. Je découvris qu’elle maîtrisait parfaitement son job, qu’elle mettait ses qualités professionnelles et ses connaissances au service de mon groupe. Cela me renforça dans mes qualités de recruteur. Nous étions vendredi soir. Le week-end s’annonçait pour ma part assez calme. Mes employés quittèrent les lieux rapidement, sauf Cécile. Elle vint vers moi. — As-tu quelques minutes à m’accorder ? me dit-elle de sa petite voix de poupée, en me sondant de ses yeux verts.— Bien sûr, Cécile. Je la regardais s’asseoir en face de moi, croiser ses jambes de gazelles. J’étais un peu embarrassé, mais je l’ai laissé s’exprimer en premier. — C’est par rapport à mon mail de ce matin, que j’aimerais te parler.— Je t’écoute. Cécile se livra encore davantage, qu’elle ne l’avait fait lors de nos déjeuners ensemble. Elle me confia que l’épisode de la veille lui avait permis de jeter un regard différent sur ma personne. Elle se doutait bien qu’un lien fort nous unissait et ce qu’elle savait maintenant lui plaisait beaucoup. Je l’écoutais avec ravissement et me sentis rassuré par ses paroles. — Tu es belle Cécile, tu as un charme fou. Chaque jour qui passe renforce ma conviction. En fait tu sais je pense que ta grâce m’a envoûté, et je n’ai pas pu résister à en jouir.— Hummmm merci, je comprends ton état, j’en suis très flattée. Tu es seul depuis plusieurs mois, tu as ...