Rousse Nymphe (suite)
Datte: 02/01/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
Collègues / Travail
Masturbation
intermast,
... des pulsions comme tout le monde, je ne peux pas t’en vouloir. Et je te promets que ce jardin secret restera entre nous. Puis-je te poser une question intime ?— Euh oui. dis-je— Ok je me lance. Dis moi est-ce que le plaisir que tu ressens en te masturbant est-il aussi intense qu’en faisant l’amour avec une femme ? Céline se passa sa petite langue rose sur sa lèvre inférieure en attendant ma réponse. Je sentais la situation m’échapper et dévier délicieusement vers une intimité jamais atteinte avec Cécile. J’avais très chaud tout d’un coup. Je me raclais la gorge avant de répondre : — Lorsque je me livre à cela, j’imagine que ce sont tes mains qui me caressent, je te vois avec moi, sous moi en train de gémir sous mes assauts. J’entends ta voix de poupée chanter son plaisir, j’embrasse ton corps d’adolescente. Toutes ces visions décuplent en moi un telle vigueur que la jouissance devient toute aussi intense qu’avec une femme. Céline me regarda longuement sans rien dire. Ses joues en feu avec son regard de braise, elle se rapprocha de moi et me susurra :— En as-tu envie là ? Je la regardais émerveillé et dis : — Oui, à la folie. Elle se leva me pris la main et la serra fortement. — Alors faisons-le, j’en meurs d’envie moi aussi. Je me levais et fermais la porte à clé. Cécile se leva. Je la pris dans mes bras, elle se mit sur la pointe des pieds et déposa un baiser doux sur mes lèvres. Ce contact électrisa mon corps tout entier, elle mit ses petites mains à mon cou et m’attira ...
... fortement vers elle. Notre baiser fut long et fougueux. Je laissais mes mains agripper ses fesses, je les massais tendrement, quel délice ! Elle gloussa et entreprit de me déboutonner, je l’aidais pour accélérer le mouvement. Elle se déshabilla prestement en jetant ses vêtements aux quatre coins de mon bureau, je faisais de même. Nous nous retrouvâmes nus debout l’un en face de l’autre. J’admirais son cou gracieux, ses petits seins hauts perchés, les tétons durcis, sa peau blanche, sa toison rousse, ses cuisses de gazelles. Ma hampe pointait vers son ventre et je vis sa main fine se poser sur mon gland. Je laissais échapper un gémissement, car elle débuta de légers va-et-vient en enroulant ses doigts autour de mon membre. Quel délicieux moment. Sentir cette douceur sur moi. On aurait dit une main de soie. Enfin, je vis la main de Cécile aller et venir avec frénésie sur ma verge tendue de désir pour elle. Toujours face à moi, elle me souriait en me masturbant amoureusement. Je gémissais, je sentais un ouragan de plaisir se préparer à déferler dans mon être. Soudain, je la vis s’agenouiller devant moi. Ses lèvres se posèrent sur mon gland, elle ouvrit la bouche, une langue rose apparut pour lécher chaque parcelle de ma verge. De part sa petite bouche, Cécile eut un peu de mal à débuter sa succion, elle me lançait des regards de femme heureuse. Je lui souriais béatement la regardant me prodiguer cette fellation de déesse. Sa langue rose courait le long de mon membre, ses lèvres ...