1. Sur les bords de l'Ardèche


    Datte: 03/01/2018, Catégories: fh, ffh, vacances, pénétration, Oral jouet,

    Il y a quelques années, dans une petite maison de campagne récemment acquise, j’ai trouvé une caisse pleine de magazines qui avait probablement été oubliée lors du précédent déménagement. Au milieu de ces revues, il y avait un classeur de feuilles dactylographiées qui a éveillé ma curiosité. Après les avoir parcourues, et en raison de leur caractère très intime, j’ai pris rendez-vous avec l’ancienne propriétaire pour les lui remettre. Nous nous sommes retrouvés un midi dans un restaurant. C’était (et c’est toujours) une femme charmante que j’avais amicalement fréquentée et avec laquelle j’avais sympathisé à l’occasion de la vente de la maison. Elle m’a expliqué, un peu gênée, qu’elle avait contacté sans succès des éditeurs de romans érotiques et c’est suite à leurs refus qu’elle s’était désintéressée de ses récits et ne se souvenait même plus les avoir oubliés. Je n’étais pas surpris du rejet de ces textes, car l’écriture en était assez moyenne, comparée à la trame des histoires en général très suggestives, mais mal rendues. Après avoir discuté très librement avec elle, l’ambiance s’est détendue et elle m’a avoué que la plupart des récits étaient des épisodes qu’elle avait vécus mais qu’elle avait beaucoup romancés en les fleurissant de situations et de dialogues reconstitués de mémoire pour rendre ces histoires plus attractives. Puisque j’avais eu connaissance du caractère très particulier de ces textes, l’intimité de fait qui s’est créée entre nous lui a fait accepter ma ...
    ... proposition de me charger d’une remise en forme plus lisible, en y apportant les modifications rendant ces récits anonymes (noms et situations des participants et des lieux). Elle a accepté la version corrigée de quatre de ses récits. J’étais détendue, sans soucis et en paix avec moi-même. Le site était superbe, et en ce début de juillet le temps était magnifique. Malgré cela, je m’ennuyais un peu. Vincent, mon mari, fatigué par une mission technique à l’étranger physiquement très dure, m’avait proposé d’aller nous ressourcer et nous reposer une dizaine de jours sur les bords de l’Ardèche. Nous avions installé notre camping-car dans un terrain aménagé au bord de la rivière. Nous passions nos journées à nous baigner, quelquefois à visiter les gorges en louant un kayac. Et nous faisions l’amour. Très souvent. Vincent faisait de très longues siestes, et j’en profitais pour partir à pied en longeant tant bien que mal le bord de la rivière. Un après-midi, à trois jours de la fin de ces courtes vacances, j’ai trouvé en marchant très longtemps une petite plage peu fréquentée, une halte pour les estivants qui descendent la rivière. C’était suffisamment tranquille et isolé pour que je n’hésite pas à retirer mon soutien-gorge et bronzer seins nus. C’était d’autant moins gênant que parmi ceux qui débarquaient là, certains d’entre eux, hommes et femmes, se comportaient encore plus librement, et se baignaient intégralement nus. Ce jour-là, en regardant les embarcations qui se laissaient ...
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