1. Sur les bords de l'Ardèche


    Datte: 03/01/2018, Catégories: fh, ffh, vacances, pénétration, Oral jouet,

    ... entraîner par le courant, j’ai aperçu un collègue de Vincent seul dans un canoë, qui scrutait la berge, et j’ai eu la quasi certitude qu’il m’avait reconnue. J’en étais assez gênée, car s’il est assez anodin dans un contexte comme celui-ci de montrer sa poitrine à des inconnus, il n’en est pas de même s’il s’agit d’une connaissance comme un collègue de travail ou son voisin de palier… ou toute autre personne de la vie courante. J’ai été à la fois soulagée, surprise et – je dois l’avouer – un peu déçue qu’il ne s’arrête pas pour venir me voir, car cet homme, Charles de son prénom, n’était pas n’importe qui pour moi. Tous les ans, avant que le personnel ne se disperse pour les vacances d’été, la direction de la société où travaille Vinent organise une soirée où les cadres techniques et administratifs sont conviés avec leur conjoint. Cette année après le repas, Vincent, très peu amateur de danse, avait passé son temps à discuter avec d’autres ingénieurs. J’ai eu à répondre aux multiples invitations à danser, surtout des célibataires, qui profitent de cette occasion pour se placer, en général auprès des jeunes femmes célibataires, mais aussi auprès de certaines femmes mariées pour lesquelles ils pressentent que les absences prolongées de leur époux peuvent leur donner du vague à l’âme. Charles était de ceux-là, et lors de cette soirée il m’a invitée très souvent, au point que cela en est devenu gênant. Lors de la dernière danse, j’avais ressenti, alors qu’il me serrait plus ...
    ... qu’il n’est raisonnable, que son anatomie traduisait à mon égard un intérêt évident. De plus, il m’a entraînée dans une zone très obscure de la salle et m’a embrassée. Ce baiser m’a subjuguée. Je ne m’y attendais pas, et la surprise m’empêchant de réagir instantanément, une émotion intense m’a traversée, probablement nourrie par l’érection que je sentais vivre contre mon ventre. La vague de chaleur qui m’a assaillie a été si forte que je n’ai pas résisté au plaisir de sentir sa langue s’enrouler autour de la mienne. Un très court instant j’ai répondu à son baiser en me serrant très fort contre lui, un petit moment d’abandon total, excusable car Charles faisait partie des rares hommes qui me plaisaient ! Très vite, je l’ai repoussé, et j’ai eu ensuite une réaction très maladroite en lui disant qu’il était fou et que quelqu’un pouvait nous voir. C’était maladroit, car il a bien compris que cette crainte était la principale raison qui m’avait fait rompre cette étreinte. Quoi qu’il en soit, les choses en sont restées là, mais mon corps avait réagi très positivement et, à l’évidence, il l’avait deviné. Je me suis rappelé que lors de cette soirée il est possible, quoique je ne m’en souvienne pas, que je lui aie dit de façon anecdotique que nous allions début juillet passer quelques jours au bord de l’Ardèche. Je lui avais peut-être même indiqué le nom du village où nous projetions d’aller camper. Je n’ai pas voulu parler à Vincent de cette rencontre-surprise. Il pouvait croire qu’elle ...
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