1. Sur les bords de l'Ardèche


    Datte: 03/01/2018, Catégories: fh, ffh, vacances, pénétration, Oral jouet,

    ... moi que cette rencontre n’était pas due au hasard ; je me demandai alors, avec une petite déception, pour quelle raison il ne s’était pas arrêté sur la berge pour venir me voir. J’aurais dû le dire à Vincent le soir même, mais plus le temps passait, plus il m’était difficile de lui en parler. Après le déjeuner, Vincent m’a demandé : — Tu n’aurais pas envie d’un gros câlin ?— Tu sais bien que j’aime beaucoup les gros câlins avec toi, mais…— Est-ce que le « mais » veut dire que tu les apprécies ou les apprécierais avec d’autres ?— Non, quoique ce ne doit pas être désagréable, une fois de temps en temps…— Alors ?— Hier soir, tu m’as épuisée et je suis repue. Fais ta sieste, on en reparlera ce soir. J’étais décidée à faire la même promenade que la veille. J’espérais revoir Charles, car sans que j’en sois vraiment consciente, un désir sournois s’était insinué en moi. Je suis passée par la plage du camping et là, à me grande stupéfaction, je l’ai vu, dans un coin assez retiré, allongé sur le sable à côté d’une superbe blonde. Elle devait avoir vingt-cinq, trente ans, à peu près mon âge. J’ai compris que de leur place ils pouvaient observer discrètement le point d’arrivée du petit sentier venant du camping. Charles m’a vue et s’est manifesté, m’invitant à venir près d’eux. Il nous a présentées, Agnès sa compagne, et moi. Il a aussitôt engagé la conversation : — Lors de la dernière soirée dont tu dois bien te souvenir, tu m’avais dit aller passer quelques jours dans cette région et ...
    ... tu m’avais aussi indiqué le nom du village. J’en ai parlé à Agnès qui connaissait le coin, et ça lui a donné l’envie d’y revenir. Nous avons eu la chance de pouvoir louer un petit bungalow, un peu à l’écart du terrain de camping. Nous sommes ici depuis quelques jours ; malheureusement, je suis obligé de rentrer demain.— Je t’ai vu hier canoter sur la rivière.— Moi aussi, mais j’ai évité de venir te voir car tu étais dans une tenue qui aurait pu te gêner.— Merci pour ta délicatesse, mais ça n’aurait pas été un gros problème.— Je ne pouvais pas le savoir… Et Vincent ?— Il vient juste de commencer sa sieste. Agnès est intervenue : — En attendant qu’il émerge, venez… viens prendre le café chez nous. On peut se tutoyer.— Bien sûr, et ça me donnera l’occasion de voir comment vous êtes installés ; c’est sûrement plus confortable que notre camping-car. Le bungalow était assez agréable, avec un petit jardin, l’ensemble entouré d’une clôture aveugle qui protégeait des regards de l’extérieur. Après avoir bu le café, Agnès est allée s’allonger sur la pelouse, a retiré son soutien-gorge, exhibant une poitrine superbe et a déclaré calmement et avec malignité : — J’aime être bronzée intégralement, et à défaut au moins la poitrine, on ne sait jamais : si je change d’amant au retour de vacances, je veux être physiquement au top. Un corps brun, sans la marque du maillot, c’est très stimulant pour un homme. Sais-tu pourquoi ?— Probablement pour des raisons esthétiques.— Pas seulement. Ce qui ...
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