1. Sur les bords de l'Ardèche


    Datte: 03/01/2018, Catégories: fh, ffh, vacances, pénétration, Oral jouet,

    ... excite les hommes, c’est d’imaginer qu’une femme se plaît à se montrer toute nue devant des inconnus.— Je pense que c’est aussi pour Charles que tu veux être… belle et désirable.— Également, mais l’idée d’un autre, c’est toujours plus excitant. Charles est intervenu : — Elle dit toujours de trucs comme ça, mais pour le bronzage elle a raison. D’ailleurs toi-même, Annie, j’ai bien remarqué hier qu’il t’était indifférent de montrer tes seins.— Oui, mais c’est un peu délicat devant des gens que je connais dans la vie courante.— Ne te gêne pas devant nous. Agnès, elle, ne se gênait nullement. Elle avait aussi retiré son slip. Elle était très belle, et son duvet blond et clairsemé laissait deviner les replis roses de son intimité. J’ai pris la suggestion de Charles de me déshabiller comme une invitation à adopter la même tenue qu’Agnès. J’étais de plus en plus troublée, et une chaleur bien familière est venue envahir mon ventre. C’était plus que de l’intimité que Charles souhaitait voir s’établir entre nous. Au risque de paraître très prude, je me suis couchée le dos au soleil, à côté d’Agnès, en gardant les deux pièces de mon bikini. Charles a continué : — Agnès, notre pauvre Annie va griller ; mets-lui de la crème.— Je peux le faire moi-même.— C’est plus facile et plus agréable de se faire tartiner. C’était en effet plus qu’agréable, et je pensais que cela l’aurait été plus encore si Charles lui-même s’en était chargé. Cette idée me perturbait et me faisait frissonner. J’étais ...
    ... passablement excitée et je commençais à sentir une douce moiteur imprégner l’intérieur de mon sexe. J’ai entendu Agnès demander à Charles de dénouer les cordons de mon soutien-gorge. Ce n’est pas ce geste normalement anodin qui a stimulé ma sensualité ; mais comme c’est Charles qui s’est exécuté, ce sont ses mains à lui, des mains d’homme, que j’ai senties effleurer puis caresser mon dos. Agnès était douce. Elle s’est attardée sur les zones les plus sensibles, la rivière du dos, le creux des reins. Elle n’a pas hésité à passer la main sous mon slip pour caresser les globes et le sillon de mes fesses. Quand elle a eu fini, j’ai entendu Charles me dire : — Après le recto, passons au verso : retourne-toi.— C’est peut-être un peu… osé.— J’ai déjà aperçu tes seins ; ils sont assez jolis pour que tu n’aies pas peur de me les montrer.— C’est possible, mais je préférerais que Vincent soit là.— Ce qui présenterait beaucoup moins d’intérêt… en particulier pour toi !— J’ai cependant l’impression que tu es aussi très intéressé.— Tu ne te trompes pas ! C’est un hommage à ta beauté. Après cet échange, je n’avais pas à me poser beaucoup de questions concernant les intentions de Charles. Je ne savais pas comment tout cela allait se terminer, mais je commençais à apprécier l’ambiance qui s’épaississait. J’étais très excitée en imaginant – et surtout en souhaitant – que Charles soit aussi, et même plus, entreprenant que lors de la soirée où il m’avait embrassée. Il l’avait probablement deviné, ...
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