1. Sur les bords de l'Ardèche


    Datte: 03/01/2018, Catégories: fh, ffh, vacances, pénétration, Oral jouet,

    ... et c’est la première fois ; on dirait une vraie bite… C’est presque plus excitant… ça vibre.— Si je continue, tu vas jouir très vite.— Je le sens… c’est proche… mais arrête !— Pourquoi ? J’ai regardé Charles : — Parce que c’est ta queue, une vraie queue que je veux ! Agnès s’est retirée ; Charles s’est penché sur moi et, pour la première fois, m’a embrassée longuement. J’ai happé sa langue, je l’ai aspirée, je l’ai enveloppée de la mienne. Ma bouche qui lui appartenait, sa poitrine qui écrasait mes seins, son ventre contre le mien, son pénis raide collé entre les lèvres de mon sexe, mes jambes qui entouraient ses reins, soudaient nos corps dans une étreinte qui s’est prolongée jusqu’au moment où j’ai senti l’irrésistible pression de son gland à l’orée de mon ventre. J’ai poussé un petit cri. — Tu veux… maintenant ?— Oui, tout de suite… mais très lentement… Je veux te sentir écarter mon vagin… glisser doucement.— Tu sens comme ma queue est grosse ?— Énorme… Je veux qu’elle me remplisse… jusqu’au fond. J’ai écarté mes cuisses le plus que je pouvais, j’ai saisi ses fesses, j’ai caressé ses testicules. Il m’a dit : — Ça fait très longtemps… très longtemps que je voulais faire l’amour avec toi. Et toi ?— Oui… Quand j’ai compris que tu me désirais, ça m’a donné envie de baiser avec toi… envie de ta queue… Viens… viens ! Il m’a prise avec douceur et lenteur, comme je le voulais. J’étais inondée, je me sentais brûlante, ouverte, liquide. Il m’a pénétrée par petites poussées, ...
    ... caressant les parois de mon vagin, déclenchant des ondes de plaisir qui m’ont fait haleter, gémir pendant tout le temps de sa progression. Quand il a buté au fond de mon ventre, j’ai poussé un cri comme si une décharge électrique secouait mon corps. J’imaginais son gland abuté contre ma matrice prêt à lâcher sa semence, mais je voulais le sentir longtemps coulisser en moi. Je l’ai supplié de se retenir, précaution inutile car Charles, robuste et viril, a continué de caresser mon intimité par des allées et venues dont il faisait varier le rythme, l’amplitude et la force. À chaque coup de sa queue au fond de moi, j’avais l’impression de m’envoler. Plus il me donnait de plaisir, plus nos rythmes s’accordaient, comme si la même onde parcourait nos deux corps. Il m’a besognée longtemps. Mon sexe vibrait, se dilatait comme pour accueillir une multitude de phallus. J’ai saisi mes genoux et je les ai tirés de toutes mes forces pour m’ouvrir encore plus à ses ruades. C’est lui qui a cédé le premier, et quand j’ai deviné qu’il allait jouir, je l’ai accompagné, je l’ai serré contre moi pour sentir, lorsque j’ai sombré, son corps tressauter de jouissance contre le mien. Avant de chavirer, j’ai cru voir Agnès allongée, nous regardant avec passion. Je ne serais pas surprise qu’elle ait pris son plaisir en accompagnant notre étreinte avec cet objet dont elle venait de me faire découvrir les délices. ========== Ô ========== Charles m’a raccompagnée sur la plage. Il ne semblait aucunement gêné de ...
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