1. Quel restaurant !


    Datte: 03/01/2018, Catégories: fh, couple, Masturbation intermast, pénétratio, fsodo, baillon, tutu,

    Super soirée que ce restaurant, et quelle rigolade, vraiment un bon moment ; en plus cette petite tenue te va à ravir, tout ce que j’aime, sexy et classe. À refaire, évidemment : quelle chance tu as eue que je ne me jette pas sur toi dans le parking, tellement tu m’excitais. Le vin aidant, je suis sûr que tu n’aurais rien dit. Maintenant, il est un peu trop tard, tu somnoles, et nous arrivons à la maison. Tes jambes reposent sur le plastique du tableau de bord ; les lumières orangées de la rue donnent une couleur ambre foncée à ta peau, j’y planterai bien mes dents. Ta façon de dormir, la tête sur le côté, tes jambes relevées, avec cette petite robe tombée sur le haut de tes cuisses, a quelque chose de charnel, voire de sexuel. Je monte sur le trottoir de la maison et tu le sens car tu te réveilles de toi-même. — Les enfants doivent dormir, c’est sûr. Allez, du courage, il faut que je ramène la petite baby-sitter.— Ok, à tout de suite. Me voilà de retour, c’est bizarre, j’aurais parié que tu serais déjà dans le lit, à dormir car, même si le vin te rend pompette, au point, comme tu aimes le dire, de ne « plus te contrôler », ce n’est que le temps du repas. L’alcool te rend beaucoup plus somnolente qu’entreprenante. Pour ce soir, tu ne t’es même pas déshabillé, tu bois encore, mais de l’eau cette fois. On ne peut pas tout avoir, une bonne soirée et une bonne baise… Résigné, j’enlève ma veste et je la pose sur le dos d’une de ces chaises, que l’on doit changer à tout prix. Tu ...
    ... viens vers moi en m’embrassant pour me dire que c‘était une super soirée. Le « bonne nuit chéri, désolé, mais tu ne m’en veux pas, je suis cassée », va arriver, d’une seconde à l’autre. Ta bouche est fraîche de l’eau que tu viens de boire et ta langue douce et ferme à la fois, comme à son habitude. C’est quand même bizarre de sentir tes tétons si durs qui pointent jusqu’à travers ma chemise, alors que le sommeil te gagne toujours à ce moment de la soirée. Je me tourne pour éteindre la lumière de la lampe du salon, laissant cette petite lumière orange du bar, qui me rappelle celle de la rue. — Baise-moi ! Je boirai moins la prochaine fois, me dis je. — Viens me baiser ! L’image va alors avec le son, lorsque je me retourne. Accoudée sur la table, les jambes écartées, tu as retroussé ta robe sur tes fesses. Ce n’est donc pas l’alcool qui a chanté ces doux mots à mes oreilles. Tu me répètes, sur un ton qui ne me laisse aucun autre choix avec cette teinte de supplique : — J’en peux plus, enfonce-moi ta queue, baise-moi ! Comme pour mieux me montrer ce que tu veux, au cas où je serais devenu sourd, tu places tes mains sur tes fesses et, dans un geste obscène mais d’une excitation rare, tu écartes tes fesses, me laissant tout le loisir de voir la ficelle de ton string séparant tes globes charnus, dévoilant ton sombre sillon, convoitise de mes désirs les plus fous. Tes mots, tes gestes, ont un effet choc. Telle une électrocution, le sang de ton mon corps s’est immédiatement engorgé ...
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