Quel restaurant !
Datte: 03/01/2018,
Catégories:
fh,
couple,
Masturbation
intermast,
pénétratio,
fsodo,
baillon,
tutu,
... dans mon sexe, me faisant le mal d’une érection aussi soudaine que volumineuse. Et tu le sais… Sans avoir vu la bosse qui déforme mon pantalon, à le faire craquer, tu me lances, comme un coup de fouet : — Je sais que tu bandes. Mets-moi ta queue au fond de ma chatte ! Je ne sais que faire, que penser : comment l’enseignante de la journée peut-elle se transformer en une telle « salope », en si peu de temps ? C’est ce que j’aime chez toi… ta façon de jongler avec tes hormones, de te jouer de moi comme un chat avec une pelote de laine, tu me surprendras toujours, même après treize ans de mariage. Tu vises là où il faut, et en plein dans le mille. Mais je distingue que ce n’est pas uniquement pour mon plaisir que tu fais ça. Ton string te trahit. En effet, une grosse tache au centre de celui-ci, assombrit le tissu normalement immaculé. Ton sexe, tellement ouvert, ne peut retenir les flots de mouille, qui ont imbibé ce rempart de coton, qui épouse littéralement le relief de ton sexe, comme aspiré par l’intérieur. Ton sexe, ta mouille, folie hypnotique de mes désirs. Comme si tu lisais dans mes pensées, tu attrapes alors la ficelle détrempée pour l’écarter, comme si elle pouvait cacher encore quelque chose : — Regarde, je coule, qu’est-ce que t’attends pour me baiser… Viens me faire jouir ! Le peu de lumière de la pièce fait briller le surplus de ton jus que ton sexe ne peut contenir, ça déborde, ça coule, c’est un cru record que celui-ci. Mille lumières scintillent entre tes ...
... lèvres grandes ouvertes. Comble de tout, tu trempes ton majeur dans ce torrent bouillonnant, et l’apporte luisant de ton jus à ta bouche pour en enduire tes lèvres… buccales ; un gloss on ne peut plus naturel ! — Hmmmmm ! Si c’est l’effet de ton doigt, qu’est-ce que cela va être, quand je te pénétrerai, t’écartèlerai, t’empalerai, comme le ferait une épée, à toucher le fond de ton vagin, que mes couilles viendront taper sur ton clitoris turgescent et tuméfié de plaisir. Tu baisses ce qui reste de ton string, au niveau de tes genoux, tes jambes viennent de s’affaisser, ta peau se grêle de picots. Normal, tu viens de glisser tes mains sous ton ventre. De deux de tes doigts, tu écartes tes lèvres, déjà complètement béantes, pour mieux faire sortir ton clitoris, que tu tritures fébrilement de ton autre main. Ce n’est pas ma femme que j’ai sous les yeux, c’est un volcan en éruption avec son cratère vomissant sa lave bouillante ! C’est une chienne en rut, qui attend son chien ! Une grotte inondée, qui déborde outrageusement ! Non, simplement une femme qui, après presque vingt ans en commun, se pose en femme qui vit sa sexualité comme elle l’entend, « dé-tabou-ïsée », sans faux semblant, débridée, en toute liberté, s’épanouissant, s’affranchissant même de son rôle de mère et de fille, pour devenir, de temps en temps « la salope de maîtresse » de son mari. Mais arrêtons-là ce romantisme psycho-philosophique déplacé, car de romantiques dans cette pièce, il ne reste que les fleurs blanches ...