1. Quel restaurant !


    Datte: 03/01/2018, Catégories: fh, couple, Masturbation intermast, pénétratio, fsodo, baillon, tutu,

    ... en plastiques dans le coin, à côté de la télé. J’ai sorti mon sexe. Dire qu’il est dur serait un euphémisme. Une goutte de ce liquide séminal que tu aimes tant, coule déjà de mon gland, dûe sûrement à ce déferlement d’image et de sons, d’une violence sexuelle sans pareille. Je dois rester concentré, pour ne pas jouir juste en te regardant te branler. La pièce s’est remplie d’une chaleur et d’une odeur d’excitation quasiment palpable. Seul ton souffle court et lourd résonne, agrémenté de ces bruits de clapotis que font tes doigts en jouant avec ton sexe qui n’en finit pas de baver, de cracher ton jus, ton nectar, ton miel. Voyeur de ma femme, je me suis mis aussi à me branler faisant coulisser ma main, me servant de ma mouille pour mieux lubrifier mon sexe et reproduire ce que ferait ton vagin. Malgré la certaine distance qui nous sépare, la chaleur de ton sexe me chauffe, ses effluves me dilatent les narines, comme le meilleur despoppers, imprégnant tout les pores de ma peau. Je me rapproche encore plus de toi ; tu me marmonnes, entre ton plaisir et la colère de ne pas me voir : — Ah oui ! Je t’entends. Branle-toi, fais-toi jouir, viens jouir sur mon visage, frotte ta bite sur mon cul ! J’arrête sur le champ, car la décharge est au bord de mon gland, je ne veux pas maintenant… D’abord je veux sentir tes chairs brûlantes sur ma bite, je veux entendre mes couilles claquer sur toi, le clapotis obscène de nos jus. Je vais fermer les rideaux : — Je m’en fous qu’on nous mate, au ...
    ... pire on verra comment on baise, ils se branleront de jalousie, laisse les rideaux !— Dis-le moi, dis-moi que tu veux que je te baise, dis-moi que tu aimes baiser ? Moi aussi, après tout, je me lâche. — Oui, j’aime que tu me baises, baise-moi à fond, je suis ta chienne… J’en attendais pas autant. Je m’approche, non sans avoir fermé à moitié les rideaux, quand même. Mon sexe à la main, comme un surin prêt à perforer sa victime. Le temps s’arrête. Mon gland est à l’entrée… ta main a abandonné ton bouton pour caresser mes couilles par en dessous… tes fesses se soulèvent, comme pour mieux m’aspirer… Visant ton trou luisant, je m’enfonce en toi, d’un coup brutal et imprévu, te clouant sur la table d’un plaisir bestial, te faisant lâcher un râle, comme une suffocation : — Hmmmmm, Hhhannnnnnnnn ! À la manière d’un ballon relâchant le surplus d’air, comme un soulagement d’avoir au fond de tes entrailles, mon pieu, qui est le tien. — Oh oui ! À fond, plus loin, au fond JE T’AI DIT ! C’est un ordre ? Tu vas en avoir pour tes envies. Je t’attrape alors les cheveux, relevant ta tête, mais aussi pour mieux te posséder, me permettant de me frayer un chemin encore plus profond au fond de ton sexe. L’autre main sur ton épaule, pour te bloquer, te pousser vers moi, pour m’enfoncer encore plus loin. Tu as les yeux fermés, tu râles, tu gémis, tu souffles, tu es rouge, tu transpires, tes cheveux collent à tes tempes. Tu n’es plus ma femme, tu es une femelle en rut, qui grogne, qui grommelle, qui ...
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