Champagne
Datte: 03/01/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
caférestau,
voiture,
intermast,
Oral
nopéné,
humour,
internet,
... littéraire, relit actuellementLes Misérables. Mon regard s’étant baladé avec un minimum de discrétion - ce qui, me connaissant, fut certainement un échec - entre ses beaux yeux bleus et son décolleté. J’ignore à ce moment que la bouche qui babille aimablement me prodiguera dans une anglaise garée devant l’École Militaire une pipe gourmande bien qu’un peu acrobatique, parce qu’il n’est pas évident dans cette petite caisse de nénette de se faire sucer tout en pelotant un petit cul ferme, l’idée générale étant tout de même de conserver un minimum de dignité sous les fenêtres de l’austère bâtiment administratif. Je le jure : tout comme tout à l’heure sur le Net, ce n’est pas moi qui maintenant, alors que notre tête-à-tête entre peinardement dans sa seconde demi-heure, aborde le sujet du cul. Je ne me souviens plus exactement comment est arrivée cet après-midi sur le chat sa phrase, mais je me souviens de celle-ci : Je ne suis pas libertine, je l’ai été. J’avais dû je crois, très innocemment, laisser entrevoir ma grande ouverture d’esprit. L’ouverture, quoi qu’il en soit, elle s’était engouffrée dedans. Si je dis aux messieurs qui lisent ces lignes qu’évidemment mon intérêt pour l’anonyme en fut instantanément décuplé et que je l’ai trouvée immédiatement intéressante, je ne crois pas surprendre grand monde. Ah si, toi, Marco, tu es surpris ? Désolé, je ne peux pas t’aider. La suite n’arrangera rien à ton cas, tu ferais mieux de laisser tomber tout de suite. Bref, l’ex-libertine ...
... blonde, jolie et délicieusement carrossée, et là encore pardonnez-moi d’oublier quelle perche j’ai bien pu tendre pour ferrer un tel aveu, me dit maintenant que côté cul, elle est très curieuse. C’est une chose très pénible à entendre. On vit dans un monde âpre, égoïste, le prix de l’essence n’arrête pas d’augmenter, j’ai mal au dos, et il faut en plus que je me retrouve devant une poupée blonde comme les blés et aux yeux pétillants de champagne qui m’annonce, ceux-ci plantés dans les miens, qu’elle aime le cul et sans tabous. Chienne de vie. Vous avez comme ça dans la vie des choix cornéliens qui s’offrent à vous. Venger mon père/Garder ma chérie - Fromage/Dessert - Boire/Conduire - Aller voir la belle-mère/Faire ceinture. Celui qui se présente à moi est corsé : Parler de cul/Commander un deuxième mojito. Je suis un faible, je n’ai pas su choisir. Lorsque mon verre arrive, avec une troisième coupette de champagne, (c’est qu’elle siffle bien la demoiselle), elle est en train de se plier de très bonne grâce à cette injonction : me décrire certains fantasmes encore non réalisés. Cet ange blond dont j’ignorais ce matin l’existence est en train de m’expliquer que voilà, elle serait extatique si un homme s’asseyait sur son visage, qu’elle puisse ainsi lui lécher le cul pendant que le susdit se branlerait fort. Elle veut des couilles lourdes sur son menton, un anus mâle sur le nez, puis des gouttes de sperme qui viennent s’échouer sur sa poitrine, on ne peut quand même pas lui en ...