1. Champagne


    Datte: 03/01/2018, Catégories: fh, inconnu, caférestau, voiture, intermast, Oral nopéné, humour, internet,

    ... ne soit littéralement avalée dans sa bouche gourmande, aspirée. Elle me mange la langue. Plus bas, je suis sérieusement à l’étroit dans mon jean, et son pied maintenant déchaussé vient s’assurer, en se collant la bosse du tissu, des effets qu’elle produit. Nous sommes néanmoins des animaux sociaux, je trouve donc décent d’interrompre parfois ces touillages salivaires par des propos urbains et civilisés. Ainsi, je l’interroge, lui montrant l’un de mes doigts : — Imagine ce doigt plein de foutre, que fais-tu ? Réponse silencieuse : elle avance sa bouche vers lui, puis le lèche avec autant d’attention que de gourmandise. Il faut bien revenir sur terre. — Nous ne ferons pas l’amour ce soir, me dit-elle. Digne, gentleman : — Pas de problème, mais peux-tu me dire pourquoi ?— Je veux que tu rentres chez toi et que tu te caresses fort en pensant à moi. Elle peut compter sur moi, je commencerais bien d’ailleurs dès maintenant, n’eût été l’environnement. — Et toi, que feras-tu quand tu seras rentrée chez toi ?— Je me déshabille, me mets à quatre pattes sur mon lit et je me masturbe en pensant aussi à toi. La messe est dite. Il reste l’épisode du retour, puisqu’elle est en voiture, et j’accepte, bien qu’étant venu à pied et n’habitant pas très loin, son invitation de me déposer en bas de chez moi. Dès assis dans son anglaise, déjà pas bien spacieuse pour l’usage pour lequel elle a été conçue, il le faut : j’ouvre ma braguette et sors mon sexe tendu, à la limite le pauvre de ...
    ... l’apoplexie. Je me caresse sous son regard brillant, sa main vient rapidement remplacer la mienne, une main petite et chaude et douce, puis sa bouche, sa main sous mes couilles, sa bouche qui tête mon gland, ma main dans ses cheveux puis qui file sur son dos, son cul, soulève sa robe, l’habitacle étroit, la nuit dehors, sa salive sur ma bite, ma main qui écarte la ficelle de son string, mon doigt sur son anus que je sens souple, l’École Militaire au-dessus, les voitures, rares, qui passent, le petit trou de cul serré inconnu ce matin, elle suce bien, sa bouche humide et chaude m’enserre, Paris la nuit, une jeune femme blonde, mon sexe dans une bouche qui m’a dit il y a trois heures Vous attendez une Sophie ? la tour Eiffel à gauche, un site de rencontre, ses jambes douces, son petit cul chaud, je la relève, me branle devant ses yeux, je manipule aussi délicatement que possible le petit corps dans l’anglaise riquiqui, glisse son poids léger sur son siège, pelote les jolis seins ronds, fait bailler la dentelle d’un soutien-gorge, pince un téton érigé, écarte les cuisses blanches, écarte le string noir, une chatte délicieuse, sa chatte, celle de mon inconnue, ourlée d’humidité, totalement rasée, une odeur forte, écœurante et affolante en même temps, immédiatement enivrante, sa chatte qui s’ouvre sous mon doigt, je la branle doucement en la regardant dans les yeux, ses joues rouges, ses cheveux blonds en désordre, son visage qui se tord dans une grimace d’abandon avide, ses yeux qui ...