1. La découverte


    Datte: 04/01/2018, Catégories: hh, hagé, inconnu, hsoumis, cérébral, Oral hsodo,

    ... spectacle fascinant. Il me pénétra avec douceur, s’enfonça au plus profond puis s’immobilisa. Sa bouche vint se coller sur la mienne dans un baiser passionné pendant que mes bras l’enlaçaient : j’avais en même temps en moi sa langue et son sexe, dans une plénitude de bonheur absolu. J’étais offert comme une femelle, dans une espèce de nirvana où plus rien ne comptait que ce mâle en train de me procurer un bonheur et un plaisir jamais éprouvés. Sans doute fatigué par ses premiers assauts, il resta beaucoup plus longtemps en moi ; après s’être enfoncé au plus profond, il faisait souvent des pauses pour m’embrasser, sucer ma langue et moi la sienne, avant de recommencer ses allers-retours qui ne provoquaient plus aucune douleur mais, en même temps qu’un fabuleux plaisir physique, l’extraordinaire sensation que mon corps était "possédé" par un autre homme. J’étais entièrement offert, ouvert à ses plaisirs, réceptif à ses envies et y participant dans une parfaite harmonie. Je n’avais aucune limite ; mon corps tout entier était à lui. J’étais devenu comme une femelle dont le rut animal enlève toute pudeur et retenue : il pouvait faire de moi tout ce qu’il voulait. J’adorais le sentir physiquement en moi et, mentalement, je jouissais qu’il prenne possession non seulement de tout mon corps mais aussi de ma volonté, qui lui était maintenant entièrement soumise. Notre dernière étreinte dura longtemps ; ce vendredi, en fin d’après-midi, nous ne nous soucions pas de l’heure, nous ...
    ... n’avions que notre amour physique à consommer. À force d’excitation, il sentit monter son plaisir et me prévint ; pour achever ma jouissance, je me masturbai, gêné par son ventre qui donnait de violents coups en avant, jusqu’à ce que l’accélération de ses allers-retours, suivie par son long cri rauque, me prévienne qu’il se répandait en moi. Je jouis presque en même temps que lui, surexcité par les contractions de son sexe enfoncé au plus profond de mon corps le temps que son plaisir s’écoule entièrement. Cette première étreinte amoureuse réussie se termina par d’autres baisers, sa langue venant prendre de nouveau possession de ma bouche, pendant que son sexe entièrement vide restait en moi. Complètement épuisé, physiquement et nerveusement, je m’endormis sous ses caresses plus tendres, nos envies étant intégralement assouvies. C’est ainsi que se passa ma première initiation aux plaisirs interdits. Tout au long des deux années que dura notre relation, les retours chez mes parents s’espacèrent énormément ; dès que le week-end arrivait, quand il était libre, je retrouvais Victor, mon amant et maître, pour des après-midis ou des nuits qui, si elles avaient perdu leur côté découverte, me procuraient toujours ces fabuleuses sensations lorsqu’il me touchait et ce sentiment de plénitude sexuelle lorsqu’il prenait possession de mon corps. J’étais devenu sa "petite femme" et je me complaisais dans cet état de femelle uniquement préoccupée à satisfaire son maître. L’odeur forte de son sexe me ...