1. Madrague


    Datte: 04/01/2018, Catégories: Mature, Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    voir l'en-tête completNous avions loué dans les hauteurs de port Grimaud. Ce bonheur nousétait assuré pour quinze jours. Bien que bronzée je voulais parfaireencore ma couleur qui confère au corps d'une femme une sensualitéincomparable. Je n'avais de cesse de m'admirer. Les hommes en bon miroirme témoignaient que j'étais sur le bon chemin. J'adore leur tourner latête. Mes quarante-huit ans n'y laissent rien paraître. J’escomptai biendamer le pion à mes jeunes rivales. Ainsi draguais-je indifféremmentjeunes et vieux. Salope redoutable je ratissais large.Les enfants n'avaient cure que je m’amusas ainsi. Je n'en montrais pasmoins de tact et de discrétion dans mes escapades. Nous n'écumions pasles mêmes plages. Tôt le matin ils émigraient en quelque lieu pour lajournée. Des Sms seuls nous reliaient. Chacun s'assurant que l'autres’éclatât de son côté. J'avais commencé assez fort. Je n'avais pashésité en effet de soudoyer le proprétaire. Résolue à faire baisser leprix j'entraînais celui-ci dans la chambre d'amis. Au bout d'un temps ilm'enlaça, m'embrassa et obtint sa pipe. Il revint le soir pour finir.D'un commun accord il me fut accordé l'une des terrasses donnant sur lamer. Une partie en était à l'ombre et me ménageait un peu de repos pourla sieste et la lecture. J'y bronzais souvent n'ayant cure que les deuxcopains de mon fils me virent souvent le cul nu. Cela m'excitait.J’avais besoin il du suffrage de la jeunesse. Mon fils par tropcérémonieux me disait que j’exagérais et le ...
    ... faisais passer pour unidiot. Au lycée on gloserait sur sa mère. Il avait apprit depuis quej'avais une prédilection pour les jeunes de son âge. J’exacerbais en luiune jalousie bien compréhensible.Il m'importait peu de choquer et de blesser la morale. J'étais parvenueà cet âge où tout blase. J'avais compris qu’une partie de nos relationssociales était tissée de tant d'hypocrisies. J’avais mis le temps àcomprendre que mon bonheur passait par le désir et plus précisément lesexe. Je trouvais stupide qu'on donna à cela nom de vice. Je voulais meconstituer des souvenirs sur la côte d'Azur. Le propriétaire qui venaitsouvent m'att****r dans le coin du garage me souffla une plage mignonneet naturiste connue des femmes et de quelques homos. J'y pourrais êtredraguée cependant.En effet le coin était adorable. Le corps des jolies filles loin de mecomplexer au contraire m'exaltait. J'avais une assurance inconcevablelorsqu'il s'agissait d’attirer vers moi un mâle. Un amant définissaitcela comme quelque chose de plus profond et mystérieux que le banal etprosaïque sex-appeal. On dit notamment d'une femme qu’elle a du chiencomme on dit d'un étalon qu'il est de race. Je devais parler à la partreptilienne de ces cerveaux mâles. En d'autres termes je suscitais à monpassage force érections. Nantie de ce magnétisme j’envoûtais.Les gamines ou les poupées Barbie ne seraient de taille à lutter.M'installant sur ma serviette je pus rapidement évaluer l'effetescompté. Les têtes des messieurs semblaient ...
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