1. Madrague


    Datte: 04/01/2018, Catégories: Mature, Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... s'être infléchies soudainde mon côté. Je goûtais ce discret hommage. Je ne m'en offrais pas moinsaux bras musclés du soleil puis bientôt à ceux frais et réconfortantsdes flots. Je rêvais à une mille verges à câliner, à branler et sucer.Il n'y avait pas que des homos. Une jeune personne vint à me le confirmer.Des dragueurs impénitents s'étaient en effet glissés au milieu dutroupeau. Ceux-ci constituaient un tiers des mâles. Je saluais tant leflair que la témérité de ces Don Juan. Ils n'avaient pas craintd'affronter le péril gay pour approcher et att****r quelques garcesférues de naturisme. Il n'était guère difficile de les repérer. Bientôtj'usais de mon sourire et les fixais du regard afin que l'émoi de leurqueue les trahit. Le jeu m'enchantait. Je les voyais penauds de signalerainsi le signe de leur enchantement.Cependant à aucun je ne voulus accorder ce premier jour de m'aborder. Aucontraire je crus devoir par défi aller quérir une glace au marchanddont la camionnette nous surplombait sur un pa****t. C'était un vieilitalien finaud et qui avait de loin savourer mon manège. Il ne fut paspeu étonné quand mutine je lui déclinais mon âge. Il me dit qu'il m'enavait donné dix de moins. Son compliment ne sentait pas la flagornerie.J'ai toujours manifesté de la reconnaissance à celui qui me loue ainsi.Il eût droit à une œillade sans équivoque.Il était quinze heures. le soleil était infernal. Il invitait à l'heuresage de la sieste. Marco ainsi qu'il s’appelait me dit que c'était ...
    ... sontemps de break et de repos et qu'il pourrait volontiers me raccompagnerau lieu que je fis tout le chemin à pied. Nantie d'un string et d'unparéo je montais à ses côtés. On ne pouvait ne pas avoir repéré monmanège. J'escomptais en effet susciter l'ire des machos d'en bas. Marcoen coquin avisé apprécia ma stratégie. Il me dit qu'il n'était pasmécontent que je l'eus préféré à toute cette clique de bellâtres. Samain s'apposa sur ma cuisse.J'avais une envie irrépressible de baiser. A la proposition d'une glaceje répondis à Marco que j'eus préféré autre chose à sucer et de pluschaud. Il sourit et imprima une courbe à son véhicule pour que nousfûmes loin des regards et au milieu des pins. Là je pus tranquillementsucer sa bite. Il s'agissait pour moi comme une sorte d'examen. Ce hommequi sévissait ici depuis trente ans avait du pratiquer nombre desalopes. Je devais à cet égard lui laisser un merveilleux souvenir.Ainsi me surpassais-je. L'objet en question inclinait à une performance.Il faisait frais dans la camionnette. Durant une heure ce fut l'orgie.Ce sexagénaire faisait montre d’une endurance remarquable. Sa queuefondait autrement moins que ses glaces. Je sortis rompue de l'épreuve.Ce Marco était un bon coup. On me confirma par la suite cetteréputation. Le hasard m’avait bien inspiré. Je n'en avais pas pourautant renoncé aux prétendants de la plage. Entre autre j'avais repéréun beau gosse à l'âge de mon fils. Je le soupçonnais gay car il étaittoujours flanqué d'un autre type ...