1. Madrague


    Datte: 04/01/2018, Catégories: Mature, Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... promoteur ils écumaient toute la région. Leur seulloisir était de venir bronzer ici et de draguer ce dont ils ne cachaientpas. A leurs regards ils me firent entendre qu'ils avaient jeté leurdévolu sur moi. Je leur fis observer qu'il y avait à côté de fort joliesfemmes plus jeunes que moi. Ils échangèrent une mine complice etm'exposèrent qu'ils avaient des critères spécifiques pour se choisir desamies.Le jeune homme avait ma préférence. Cependant découvrant son virilcompagnon je n'en fus pas moins troublé par celui-ci d'autant que cedernier me dragua franchement. Ainsi se proposa t-il à m'enduire decrème tandis que son ami à son tour se baignait. Au contraire du gaminil me malaxa rudement les fesses et même s'autorisa à introduire decrème mon anus. Je vis qu'il s'avisait tant de mes réactions que desavoir si cet orifice était hospitalier et depuis longtemps éprouvé. Jefus parcouru d'un frisson. J’imaginais qu'il m'enculait.Nous bûmes peu loin dans un estaminet. Nous convînmes du restaurant dusoir. Ils me dirent sans ambages que je devrais prévenir mes enfants carils me voulaient pour la nuit. J'étais fixée ainsi quant à mon sort.Cette façon désinvolte m'enchantât. Ce n'est pas tous les jours que deuxmâles vous annoncent benoîtement qu'ils veulent vous sauter toute lanuit. Le restaurant était réputé.J'étais touchée qu'ils me le fissentdécouvrir. Les autres clients étaient intrigués par notre trio. J'adoreêtre le centre des attentions. J'allumais sans vergogne l'un l'autre ...
    ... desfuturs amants.Mes enfants ne furent pas chagrinés que je découcha. Seul le copain dufils hasarda une scène de jalousie. Je dis à ce morveux qu'il avaitvocation à s'amuser avec des girls de son âge et non à m'embêter. Enrobe légère et sandales je vins rejoindre au coin de la rue l'auto desnouveaux amis. Nous débarquâmes dans un hôtel où ils disposaient d’unechambre bien spacieuse. Ils convinrent que celle-ci était leurgarçonnière. D'autres garces avaient du me précéder. Comme je leprévoyais ce fut le plus âgé et viril qui se jetas sur moi tandis quel'autre regardait.Il y avait là-dedans quelque chose de bestial. A l'instar d'une meute deloups, le mâle dominant devait se repaître des meilleurs morceaux et lesautres attendre. Ainsi mon angelot me voyait ravager par Satan lui-même.Ce dernier m'infligeait toutes sortes d'outrages et d’humiliations etm'insultait. Fini les ronds de jambes et propos galants du restaurant.Au lieu du gentleman j’avais l'infini satyre pour lequel coït voulaitdire viol. Il m’enculât plusieurs fois sans ménagement et notamment surle balcon au su de tous bien qu'il fit nuit.Harassé enfin il m'abandonna à l'autre. Ce dernier plus amène me laissasme remettre et m'intima seulement à le sucer et à prendre le temps pourcela. L'autre, visage sardonique nous regardait.Je compris que mon affection pour son compagnon l'insupportait. Aussiavait-il voulu m'avilir et m'humilier avant que l'autre put disposer demoi. C'était un jeu car le jeune homme non moins que moi ...