Eléonore Ren
Datte: 04/01/2018,
Catégories:
f,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
Masturbation
uro,
sf,
... la perfection avec son visage. Les lèvres étaient charnues juste ce qu’il fallait pour rendre cette partie de son anatomie aussi attirante que le reste. Son visage incarnait l’ovale parfait. Sa chevelure cascadait jusqu’au bas de ses reins en un flot d’or couleur de miel, ornée par endroit de mèches plus sombres qui rendait cette chevelure un abîme superbe de contemplation. Ses épaules, ses bras finement tissés, son buste, ses hanches, ses jambes… tout son corps était parfait. D’une perfection d’orfèvre, elle était un être mystique irrésistible, un succube charnel, une fée mutine, une nymphe enjôleuse ; elle n’était autre que l’esprit d’Athéna dans un corps d’Aphrodite. Ainsi l’avait souhaitée ses parents, et la génétique et les américains avaient fait le reste. Éléonore Ren était à vingt-trois ans l’incarnation de la beauté, l’allégorie-même du Désir. Elle était magnifique, le savait, et jouait régulièrement dans la rue avec son corps pour se faire retourner le plus de mâles. Un jeu cabotin qui lui procurait des sensations exquises, des fourmillements d’envie dans le bas-ventre et autour de sa douce vulve. Nue. Glabre. Cela aussi était le résultat du désir de ses parents : avoir une fille qui jamais ne serait ennuyée par la pilosité et ses effets disgracieux chez la plus belle de ces dames. Et elle rit. Elle rit parce qu’elle s’imaginait être un homme face à cette superbe femme, et était persuadée qu’elle ne pourrait résister plus de dix secondes à l’invitation qu’était ...
... cette nudité provocante. De la salle-de-bains où le peignoir avait retrouvé sa patère, Éléonore passa par la chambre, le sourire toujours aux lèvres, fit le lit avant de mettre ses vêtements dans le panier. Nue. Elle appuya sur le bouton pour que les stores laissent entrer la lumière du jour, ouvrit les rideaux et laissa les voiles de satin couleur de perle retrouver leur place par-devant les fenêtres. Nue. En passant par l’entrée, elle se saisit du téléphone pour appeler et se faire porter pâle et fatiguée, tout en se dirigeant avec la grâce d’une chatte vers la cuisine. Nue. Le carrelage froid de celle-ci eut l’effet d’une bombe sur la peau de l’ondine qui frémit de chair de poule, et frémit aussi sa douce vulve sous l’électrochoc, le transformant sans tarder en un frisson tout autre. Nue. Nue elle mit la bouilloire en route pour la théière et prépara le sachet de thé. Nue elle se fit griller quelques morceaux de pain et commença à dresser un semblant de table en face de la chaise surélevée qui servait de chaise au bar. Nue elle sortit du réfrigérateur le jus d’orange et le beurre, dont la fraîcheur eut tôt fait de rappeler à la belle d’or celle des carreaux de carrelage. Nue, nue, nue, nue… De n’être qu’elle-même, elle frissonnait d’un léger et doux plaisir. D’être nue et de se balader dans son appartement lui procurait déjà une jouissance agréable, un petit effet en arrière-plan plein de charmes. Et tandis que ses pensées étaient toutes tournées vers les prévisions de ...