1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1008)


    Datte: 04/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1007) - Il préféra s’essuyer sur mes joues, alors que du foutre était encore entre les commissures de mes lèvres buccales… Puis une routière s’approcha alors. Elle était plutôt rustre dans son allure avec des cheveux courts et de grosses joues rouges et devait approcher les 100 kilos avec de gros bras de camionneuse et une poitrine qui devait être énorme. Elle détacha ma laisse, m’attrapa par les cheveux et m’emmena jusqu’à une table de pique-nique. Elle me souleva, me donnant mal à l’intérieur du crâne, pour que je m’allonge sur un des bancs qui l’entourait. Elle me chevaucha le visage, me plaquant sa chatte sur ma bouche et tandis que je m’appliquais à la lécher pour lui donner tout le plaisir que je pouvais, elle attrapa la chaine qui reliait mes pinces et s’amusait à la tirer vers le haut au fur et à mesure qu’elle sentait les vagues de plaisir monter, m’arrachant des larmes qui se mêlaient sur mes joues avec la cyprine de la camionneuse. Au moment où elle jouit sans ménager ses longs cris de plaisirs, je découvris que c’était une femme fontaine quand mon visage fut abondamment inondé de sa mouille, et en même temps que j’aurai hurlé de douleur si ma bouche n’avait pas été occupée car la tension dans mes tétons et mes lèvres intimes devenaient quasiment insupportable. Cependant, cela alimentait mon côté masochiste, et si elle n’avait pas joui si fortement, si elle n’était pas restée « ...
    ... ventousée » sur moi, on aurait également pu entendre le puissant orgasme que j’avais eu quasi au même moment que ses longs cris jouissifs... Trois hommes, qui faisaient route ensemble, cherchèrent une branche d’arbre assez longue dans les alentours. L’un d’eux s’absenta et revint avec une grosse pelote de cordelette. Ils m’attachèrent chaque poignet à une cheville qu’ils attachèrent à la branche et me placèrent sur le plateau de la table. L’un d’eux m’enleva sans la moindre précaution le rosebud qui m’encombrait l’anus et m’encula aussi sec jusqu’à la garde en me pilonnant à un rythme incroyable comme s’il n’avait pas baisé depuis longtemps et qu’il était en manque de sexe, tandis que les deux autres se partageaient les deux orifices restants. Je fus besognée à grands coups de reins et je n’étais plus que ‘’trois trous’’ juste bons à remplir pour se soulager. J’étais leur jouet, comme une simple poupée gonflable bonne à baiser, les trois hommes ahanant tels des porteurs d’eau, jusqu’à ce qu’ils éjaculent de concerts dans des gémissements bestiaux d’abord qui se transformèrent en de longs râles de jouissance à n’en plus finir. L’homme qui m’encula me remis le rosebud sans ménagement enfonçant ainsi son sperme plus profond dans mes entrailles. Une femme et deux hommes attendaient leur tour. La femme monta sur la table, s’agenouilla au-dessus de moi, ordonna que j’ouvre grand la bouche et se mit à uriner, ne cherchant même pas à viser ma bouche et m’arrosant allègrement tout en me ...
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