1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1008)


    Datte: 04/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... traitant de tous les noms insultants et humiliants puis elle m’ordonna de lui lécher sa chatte afin de lui servir de serviette hygiénique. Les deux hommes me détachèrent alors de ma branche d’arbre, me firent descendre de la table, exigèrent que je reprenne ma position initiale, à genoux, et ils exigèrent de se faire sucer. Alors j’obéissais passant de l’un à l’autre. Parfois j’avais les deux bites à la fois dans la bouche. Mais aussi quand j’en sucer un, l’autre frappait mes joues avec sa queue bandée. Ils finirent par se branler devant ma poitrine jusqu’à ce que leur jus sortent et me couvre les seins et le ventre… Lorsque Walter, qui n’avait rien perdu de ce qui c’était passé car il s’était placé derrière une baie vitrée, revint à ce moment-là, il échangea des poignées de mains avec tous ceux qui avaient profité de moi ou qui étaient restés simple spectateurs. J’entendis de vives félicitations me concernant et des nombreux remerciements de la part des routiers. Puis chacun repartit à ses affaires. Le Majordome alla à la voiture et en revint avec un long imperméable qu’il exigea que je passe et il me remit le bandeau. Il avait également un sac dans lequel il mit le tailleur. Puis il m’entraîna jusqu’à la station qui comprenait un coin douches. Il avait passé un accord avec le gérant pour que personne n’y aille le temps que nous occupions les lieux. Vue l’heure matinale à la faible influence, le gérant n’avait émis aucune objection surtout devant le billet de 500 euros de ...
    ... pourboire que Walter lui avait offert tout en l’informant le gérant qu’il l’appellerai tantôt. Le Majordome me laissa me laver à l’eau chaude cette fois-ci de peur que je ne prenne froid avec l’air frais et humide extérieur. Sous la douche, je fus autorisée à enlever le tissu plaqué sur mes yeux. Je ne m’attardais pas sous l’eau, malgré le bienfait de la chaleur sur ma peau. Je me rhabillais après avoir dû sucer le bras droit du Maître, et qu’il se soit vidé au plus profond dans ma bouche, profitant lui aussi de l’occasion. Après avoir consciencieusement nettoyé sa verge par un savant jeu de langue et tout avalé, je me remaquillais également. Il me fit me pencher sur les lavabos pour m’écarter mes deux fesses puis enleva et remit à sa place le rosebud après une inspection anale en bon uniforme, mais pas l’œuf vibrant dans ma partie vaginale. Puis il appela le gérant qui verrouilla derrière lui la porte des douches comme cela avait convenu préalablement avec le Majordome. - Nous n’allons pas tarder à repartir car nous avons encore de la route à faire, mais si vous voulez profiter de cette salope, vous pouvez la baiser, alors ne vous gênez pas ! s’exclama Walter Le gérant avait un sourire vicieux et de grands yeux gourmands tel un prédateur voulant se jeter sur sa proie… J’étais restée penchée en avant les bras accoudée aux larges lavabos, ma tête dans une vasque et exhibant ainsi mes jambes bien écartées et surtout mon fessier et ma chatte car Walter avait relevé la jupe de mon ...