La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1008)
Datte: 04/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... tailleur et il ne fallut que quelques secondes au gérant pour défaire sa ceinture, sortir sa verge déjà durcie à la vue de mon cul et il s’enfila par derrière d’un trait entre mes lèvres intimes, me labourant à grands coups de boutoirs. Il me prit les hanches de ses mains pour s’aider à mieux s’enfoncer en moi, alors que je m’agrippais aux robinets des autres vasques de lavabos de chaque côté de celle où j’avais la tête enfouit. Il me besogna un bon moment avant de laisser sa semence se vider dans les derniers coups de reins puissants accompagnés de râles tel un mâle en rut. Au lieu de se retirer, il resta en moi bien planté en coït profond jusqu’à qu’il débanda complètement. Pendant ce temps, il me fessa sans ménagement mon cul à le faire rougir fortement… Puis nous reprîmes la route, après qu’il m’eut de nouveau rendu aveugle par le bandeau. Je ne tardais pas à m’assoupir de nouveau dans le coffre, jusqu’à ce que la voiture stoppa et qu’il me réveilla d’une claque sur mon cul qui s’était dénudé par le fait que la jupe s’était retroussée en dormant. Toujours le bandeau sur les yeux, je compris que nous étions arrivés dans une ville au bruit d’un camion poubelles qui s’arrêtait pour repartir plusieurs fois pour quelques mètres... Je descendais de la voiture et me laissais guider par le Majordome dans une rue qui semblait déserte, au peu de bruit que j’entendais, ou du moins celui qui me parvenait semblait lointain. Juste après avoir ouvert une porte, il me dit de faire ...
... attention car il y avait une marche à descendre. Puis, après quelques pas, il stoppa. Il m’enleva mon bandeau. Je me trouvais dans un bureau, je ne savais pas où. Walter m‘indiqua alors des vêtements qui se trouvaient sur une chaise et qu’il m’ordonna de passer, pour lui remettre le tailleur que je portais. Je mis alors une mini-jupe protégeant à peine mes orifices en cuir rouge, un mini top noir très décolleté, se rapprochant presque du soutien-gorge, tellement il y avait peu de tissu, des bas noirs auto-fixant, et des chaussures à talons aiguilles d'une dizaine de centimètres également rouge. - Bien, maintenant que tu es correctement habillée en pute, dit-il avec un sourire carnassier, tu vas te rendre comme tu pourras à l'adresse qui est écrite sur le papier qui se trouve dans la petite poche de ta jupe. Tu attends d'être dehors pour regarder. Mais avant que tu ne sortes, penches-toi donc sur le bureau, que j'assortisse encore un peu plus la couleur rouge de ton derrière avec celle du vêtement qui le recouvre. Il n'eut pas besoin de retrousser ma jupe, rien que le fait de me pencher en avant la remonta automatiquement ! Je reçus une volée de fessées pendant de longues minutes, et très vite je sentis ma peau chauffer. Pour vérifier mon état d'excitation, il passa sa main entre mes lèvres intimes, me pénétra de quelques doigts, me pinça et me tira mon clitoris si sensible, manquant provoquer chez moi des gémissements que je retins de justesse. Il s'essuya les doigts sur mes ...