1. Madame de Baincourt


    Datte: 06/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Il se peut que dans cette histoire il y ai des contradictions sur certaine chose avec l’époque où se passe l’histoire. Des choses du style : des bas, une guêpière, un porte-jarretelles, du latex, etc... C’est ça l’avantage des fantasmes. On peut le transporter où l’on veut. Merci de votre compréhension et bon plaisir. A toi, Stéphanie... On me nomme Madame de Baincourt. Je suis une sorte de Libertine, bien que d’autre me dise Courtisane. J’en ai cure. Moi, tout ce qui m’intéresse, c’est le plaisir : le plaisir de la bonne chaire, le plaisir du bon vin, le plaisir des bons mots, le plaisir du sexe. Je suis la protégé d’un gentilhomme dont je tairais le nom qui m’a installé dans une superbe demeure à la campagne. Je suis suffisamment proche de Paris pour m’y rendre en calèche. Les soirées que j’organise sont très couru. Qui n’a pas un jour désirez boire du champagne dans un verre moulé à partir de la forme d’un de mes seins. Mon gentilhomme s’occupe admirablement bien de moi et je ne manque de rien. Pourtant, je pense que nos jours sont comptés. Le peuple gronde de plus en plus fort contre le Roi. Ceci reste le cadet e mes soucis pour l’instant. Je possède également de nombreux serviteurs et femmes de chambre. Mon gentilhomme me rendant que très rarement visite, je pris un jeune paysans sous mon toit et m’occupais personnellement de son éducation. C’était un jeune homme intelligent et je savais qu’il irait loin. J’avais également sous mon aile une jeune fille qui m’avait été ...
    ... confié, à l’âge de douze ans, par son père suite à la mort de sa mère. Je faisais aussi son éducation. Un intendant venait deux fois par semaine apprendre au jeune homme ainsi qu’à la jeune fille les mathématiques, les sciences, la lecture et l’écriture. Mon éducation à moi était tout autre. Je leur appris le plaisir du sexe. Je fis déflorer la jeune fille, à l’âge de quinze, par le fils du palefrenier. Maintenant elle savait comment s’y prendre avec la gente masculine. Quand au jeune homme, je lui appris à honorer une femme et le bougre savait s’y prendre. A la tombé de la nuit, on allumait un feu dans le petit boudoir. Je m’installais dans le canapé pour déguster des friandises. Le chocolat venait de faire son apparition. Mon jeune paysans venait me rejoindre et sans que le demande, il glissait sous mes jupon et taquinait ma chatte de sa langue comme il savait bien le faire. Je lui offrais alors mes liqueurs en guise de remerciement. Il me suçait divinement bien me faisant gémir de bonheur. « Continuez, je suis fière de vous » Je continuais à manger mes friandises tout en me faisant lustrer la chatte. Je me rappel de la fois ou l’on avait été dérangé par Juliette, ma petite protégée. Elle s’était endormi au bord de la rivière dans la forêt. Lorsqu’elle s’était réveillée, il faisait nuit noire. Elle avait trouvé son chemin mais avait eu peur des bêtes de la nuit. La pauvre tremblait des pieds à la tête. Je m’apprêtais à sucer à mon tour le pieu de mon jeune paysan lorsqu’elle ...
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